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#102 : Premier Round

Guests :  Sam Lloyd (Dr. Albert Goldfine) Jan Hoag (Beefy Midde-aged Woman)

Bongo, le chien de Mike paie le prix fort des disputes entre Edie et Susan qui se disputent toujours les faveurs de Mike. Pendant ce temps, Gabrielle réalise que John est amoureux d'elle et que Carlos pourrait le prendre très très mal. Bree et Rex se rendent en thérapie conjugale. 

Lynette quant à elle trouve un moyen radical de calmer ses enfants, malheureusement, il se retourne contre elle. Le passé de Mary Alice refait surface malgré tous les efforts de Paul pour le cacher.

Le secret de Susan pourrait vite se répandre lorsqu'elle réalise que Mme Huber a retrouvé le doseur qu'elle avait oublié chez Edie.

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Popularité


3.9 - 10 votes

Titre VO
Ah, but underneath

Titre VF
Premier Round

Première diffusion
10.10.2004

Première diffusion en France
08.09.2005

Vidéos

102 Promo

102 Promo

  

Diffusions

Logo de la chaîne M6

France (inédit)
Mardi 23.05.2006 à 21:45

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France (inédit)
Jeudi 08.09.2005 à 00:00

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Etats-Unis (inédit)
Dimanche 10.10.2004 à 00:00
20.03m

Plus de détails

L'épisode commence dans un cimetière et plus précisément sur la tombe de Mary Alice. En voix off, celle ci nous explique que lorsqu'on meurt, tous les sens disparaissent sauf la vision qui au contraire s'accroit et permet de mieux cerner la vie de chacun. Elle prend comme exemple Gabrielle qu'elle considérait comme une personne uniquement matérialiste et maintenant, elle se rend compte que c'est quelqu'un qui souffre.
On retrouve d'ailleurs Gabrielle dans sa baignoire accompagnée de John, malheureusement pour les deux amants, Carlos rentre plus tôt que prévu. Paniquée, Gabrielle fait tout pour cacher John et alors que Carlos est sur le point de rentrer, elle jette John, totalement nu, par la fenêtre.
Carlos arrive et demande où est John puisque sa camionnette est ici. Gabrielle ne sait pas quoi répondre mais on voit John par la fenêtre qui salue Mr Solis. le plan s'élargit et on voit John tailler la haie les fesses à l'air.

On retrouve les 4 jeunes femmes qui s'interrogent toujours sur la fameuse lettre reçue par Mary Alice le jour de sa mort. Susan pense qu'il faut montrer la lettre à Paul mais Gabrielle pense qu'il serait furieux. Bree quant à elle pense qu'il faut essayer de lui dire en douceur.

Paul a fini de creuser et en voix off Mary Alice indique que ses amies ont raison de s'inquiéter car chaque famille a ses secrets et il faut être sûr de soi avant de les déterrer. On voit alors Paul porter un gros coffre en bois.

Incapable de prendre une décision, les 4 amies retournent chez elles. Chacune de leur côté, elles réalisent à quel point Mary Alice devait être seule....seule comme elles 4!!! Bree par exemple se sent bien seule depuis l'annonce de Rex qui dort désormais sur le canapé. Elle va le rejoindre et lui parle des bons moments qu'ils ont eu et lui propose de voir un conseiller conjugual plutôt que de divorcer tout de suite.

Gabrielle est déjà couchée quand Carlos rentre, elle lui reproche de la laisser toujours seule. Comme à son habitude pour se faire pardonner, Carlos lui offre un bijou.

Le lendemain matin, on retrouve Susan qui sort ses poubelles dans une tenue peu glamour, elle ne se doute évidemment pas qu'elle va tomber sur Mike.......évidemment c'est le cas!!
Ils se saluent et au moment où Mike va partir, Susan se jette à l'eau et l'invite à dîner en précisant qu'elle fera appel à un traiteur. Mike lui dit alors qu'elle n'a qu'à venir chez lui et c'est lui qui cuisinera. Très excité, Susan rentre chez elle et annonce la bonne nouvelle à Julie en lui demandant de faire semblant d'être malade pour y aller seule.

Pendant ce temps là, Martha Huber aide Edie à récupérer les choses qui ont échappé à l'incendie. Evidemment, Martha retrouve le doseur de Susan qui est pratiquement intact. Edie lui indique qu'il n'est pas à elle. Martha se demande alors ce qu'il fait là.

Ayant toujours des problèmes de discipline, les enfants de Lynette n'en font qu'à leur tête dans la voiture et refusent de s'attacher. C'est alors qu'un policier la poursuit à moto et l'oblige à s'arrêter. Il lui dit alors de faire attention la prochaine fois à ce que les enfants soient attachés et calmes en voiture.

Gabrielle se rend chez John en lui expliquant qu'ils doivent faire davantage attention. John pense qu'elle essaie de rompre avec lui mais Gabrielle lui dit qu'ils doivent juste se voir ailleurs en cachette.

Chez le psy, les Van de Kamp essaient de régler leurs problèmes mais Bree parle de sa vie depuis une heure. Le Dr Goldfine essaie de lui faire admettre qu'ils ont des problèmes de couple et qu'elle doit dire ce qu'elle ressent. Rex en profite pour expliquer au psy que Bree n'aime pas évoquer ses sentiments.....du moins si elle en a ajoute t'il !!!

Gabrielle s'apprête à partir de chez John qui lui offre une superbe rose rouge qui est parfaite comme elle selon lui. Gabrielle réalise alors que John est certainement amoureux d'elle et qu'il ne considère plus leur relation comme uniquement sexuelle. Cette idée l'effraie un peu et elle s'en va avec la rose.

Susan croise Mike qui vient de faire les courses pour leur dîner. Edie débarque alors et voit qu'ils préparent une soirée. Mike lui explique que c'est un repas de bienvenue....Edie se plaint de ne plus manger que des hamburgers en ce moment à cause de l'incendie. Mike regarde Susan et un peu gênée, celle ci invite Edie à se joindre à eux.

Martha Huber passe chez Lynette pour récolter quelques vêtements pour Edie. Ne manquant pas sa vocation de commère, elle demande à Lynette ce qu'il s'est passé avec le policier. Lynette lui avoue ne pas savoir comment gérer ses garçons. Martha lui raconte que lorsqu'elle était enfant et qu'elle faisait le bazar dans la voiture sa mère la laissait sur le bord de la route pour l'effrayer. Lynette trouve ça horrible mais Martha lui dit que c'est très efficace.

Susan décide de parler à Paul qui emballe la grosse caisse en bois qu'il vient de déterrer. Susan tente de comprendre pourquoi Mary Alice s'est suicidée mais Paul semble furieux contre Mary Alice. Il met le coffre dans sa voiture et lui dit qu'il se moque des raisons de son suicide car elle a abandonné son mari et son fils et il ne pourra jamais lui pardonner.

Plus tard, on retrouve Paul en pleine nuit qui se débarrasse du coffre en le jetant dans une rivière.

Martha continue sa quête et débarque chez Susan. Seule Julie est là, elle monte chercher des vêtements pendant que Marthe en profite pour fouiller les courses posées sur la table. Elle découvre alors un doseur tout neuf parmi les sacs, ce qui l'intrigue. Ignorant l'histoire, Julie lui explique qu'elles ont perdu l'ancien.

Susan annonce à Gabrielle qu'elle doit dîner avec Mike mais qu'Edie sera présente aussi. Susan pense amener Julie pour avoir du soutien. Gabrielle lui conseille d'arriver plus tôt pour passer un moment seule avec lui.

Lynette se retrouve dans la voiture avec ses garçons qui continuent à mal se comporter. Incapable de les faire obéir, Lynette repense à ce que lui a dit Martha et décide d'essayer cette méthode. Elle gare la voiture, les fait descendre et redémarre. Elle attend un peu au coin de la rue et fait demi tour mais lorsqu'elle revient, les garçons ne sont plus là. En réalité, une femme l'a vu les laisser et les a récupéré chez elle. Lynette lui explique que c'était pour leur donner une leçon ce qui ne semble pas convaincre la femme. Après plusieurs péripéties, Lynette finit tout de même par récupérer ses enfants.

Gabrielle sort de chez elle et découvre une superbe décapotable, offerte par Carlos. Gabrielle est ravie et lui saute au cou sous les yeux de John très triste.

Comme prévu, Susan débarque plus tôt chez Mike mais Edie a eu la même idée et est déjà présente. Susan est vexée et d'autant plus lorsqu'elle se rend compte qu'Edie n'a aucun mal à s'approcher du chien de Mike alors qu'elle même le fait aboyer dès qu'elle s'approche.
Le repas commence avec Edie, Susan, Julie et Mike et les petites réflexions entre les deux femmes ne tardent pas à venir. Edie sort la carte Bongo en montrant à Mike que son chien l'adore. Susan ne sait pas comment réagir car elle sait que le fait que Bongo apprécie Edie ravit Mike.
Elle se rend alors dans la cuisine et une idée lui vient. Elle met un peu de sauce sur ses boucles d'oreilles en espérant attirer le chien. Cela marche très bien et Bongo se dirige vers elle et lui lèche l'oreille......Susan est très heureuse et Mike semble également content de ce changement de situation. Malheureusement, quelques minutes plus tard, le chien se met à s'étouffer, Susan réalise avec horreur qu'il a avalé sa boucle d'oreille. Mike l'emmène d'urgence chez le vétérinaire.

Susan le rejoint et s'excuse. Mike lui dit que le chien va mieux et qu'il s'est énervé contre elle car il appartenait à sa femme décédée et qu'il lui a promis d'en prendre soin.
Susan réalisa à ce moment là que Mike était certainement toujours amoureux de sa femme et qu'elle ne serait certainement qu'une amie pour lui.

Edie toujours présente chez Mike débarrasse la table et range un peu. L'épisode se termine sur un plan d'un des placards de Mike où l'on découvre des liasses de billets, des plans et des informations sur les habitants de Wisteria Lane.

En voix off, Mary Alice conclue que les gens ne s'arrête pas suffisamment sur ce qu'il se passe autour d'eux, s'ils prenaient le temps de regarder autour d'eux, ils en verraient des choses.

 

Rédigé par Mathplume

VOIX OFF MARIE-ALICE: Après la mort, il se produit un phénomène étrange. Nos sens disparaîssent peu à peu, le goût, le toucher l'odorat et l'ouie deviennent un lointain souvenir. Mais nôtre vue, oh nôtre vue se développe! Et soudain on voit très nettement le monde qu'on a laissé derrière soi. Oh, bien sûr une grande partie de ce que les morts voient pourrait aussi être vu par les vivants. Nous sommes dans un cimetière qui s'arrêtte sur la tombe de Marie-Alice. S'ils prenaient tout simplement le temps de regarder. Mon amie Gabrielle par exemple, j'aurais du voir à quel point elle était malheureuse. On voit Gabrielle dans sa baignoire la tête sous l'eau. Mais non... je ne voyais que sa garde-robe haute couture. On voit Gabrielle avec une magnifique robe de soirée, Carlos la fait tourner et l'embrasse. Ses bijoux en platine. Carlos met un un collier de diamants autour de cou de Gabrielle et qui regarde son prix. Et sa montre en diamants flambant-neuve. Carlos est au téléphone et donne la montre à Gabrielle puis s'en va continuer sa conversation téléphonique pendant que Gabrielle le regarde s'éloigner le regard triste. Si j'avais regardé de plus près, j'aurais vue que Gabrielle était une femme au bord de la noyade. Nous sommes de nouveau dans la salle de bains de Gabrielle qui a toujours la tête sous l'eau. Cherchant désespérémment un radeau de survie. Heureusement pour elle, elle l'a trouvé. Gabrielle se relève et on aperçoit John qu'elle embrasse langoureusement. Il va de soi que Gabrielle ne voyait en son jardinier, qu'un moyen de mettre un peu de piment dans sa vie. Mais là, elle était sur le point de découvrir combien sa vie allait être pimentée. Carlos arrive et se gare. Pendant ce temps, Gabrielle est en train de sécher John tout en l'embrassant et en riant. Quand soudain elle entend le bruit de la portière de la voiture de Carlos se fermer. Gabrielle va voir à la fenêtre.

GABRIELLE: Oh non, merde! Vite!

Gabrielle s'en va en courant et attrape John par la main.

JOHN: Quoi?

GABRIELLE: Viens et vite vite!

JOHN: Mais c'est bon.

GABRIELLE: Dépêchons-nous!

Gabrielle et John ariive dans le salon. Carlos lui prend le courrier. John ramasse ses affaires à la va-vite étalées sur le canapé.

JOHN: Et mes autres fringues?

GABRIELLE: Je m'en occupe, sors!

JOHN: Mais par où?

GABRIELLE: Euh... par la fenêtre!

JOHN: Quoi?!?

Carlos est en train de monter les marches du perron. John est en train de passer par la fenêtre quand Carlos est sur le pont d'entrer, Gabrielle pousse alors John qui tombe et perd sa serviette, il se retrouve donc complètement nu.

GABRIELLE: Viite!

JOHN: Ouuuaaaah!

Carlos arrive dans le salon.

GABRIELLE: Coucou chéri, tu rentres tôt!

CARLOS: Mon rendez-vous a été annulé.

Gabrielle apperçoit alors le jean de John sur la canapé.

CARLOS: Tu t'es pas douchée ce matin?

GABRIELLE: J'ai euh... je viens de finir ma séance de gym.

Tout en parlant Gabrielle met un coussin sur le jean de John.

CARLOS: Ah, où-est John?

GABRIELLE: John? Euh...

CARLOS: Oui, y'a sa camionette dehors.

VOIX OFF MARIE-ALICE: La panique s'était emparée de Gabrielle, elle savait que si son mari découvrait son secret, il entrerait dans une violente colère.

JOHN: Bonjour Monsieur Solis.

Par la fenêtre on apperçoit John vêtu de sa chemise en train de couper la haie qui se trouve sous la fenêtre.

CARLOS: Bonjour John. Vous vous êtes occupé du fécus?

JOHN: Je m'en occupe dès que j'ai fini avec la haie monsieur.

CARLOS: Parfait.

John lance un petit regard complice à Gabrielle.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Mais il lui revient rapidement à l'esprit... que la partie que Carlos ne voyait pas ne pouvait pas lui porter préjudice.

On voit alors le plan de la maison de l'extérieur et donc John de dos et on s'pperçoit qu'l ne porte absolument rien en bas.

Dans la cuisine de Susan, les filles sont réunies autour du mot trouvé adressé à Marie-Alice dans ses affaires.

VOIX OFF MARIE-ALICE: L'apparente tranquilité de Wisteria Lane, avait volée en éclats ces derniers temps, d'abord à cause de mon suicide, et ensuite à cause de cette lettre découverte dans mes affaires qui laissait entendre qu'il y'avait une raison suspecte à mon geste désespéré. Mes amies se réunirent pour décider de la marche à suivre.

SUSAN: Je trouve qu'on devrait la donner à Paul.

GABRIELLE: Il est au trente-sixième dessous, ça le perturberait plus qu'autre chose de lire ce truc.

SUSAN: Oui, mais bon et alors c'était sa femme, j'estime qu'il a le droit de savoir.

BREE: Eh bien, on pourrait le faire en douceur, on pourrait le lui dire en prenant un café et des muffins.

LYNETTE: Euhmoui, ça serait sympa. "Paul on a la preuve que ta femme s'est suicidée à cause d'un terrible secret, un autre muffin?".

GABRIELLE: On peut toujours contacter la police.

LYNETTE: Ptet que c'est une blague, l'oeuvre d'un tordu.

BREE: Si c'est la cas, je la trouve franchement de mauvais goût.

SUSAN: Non, c'est sérieux j'en suis convaincue. Il faut qu'on essaie de comprendre tout ça.

LYNETTE: Et si on y arrive, on risque fort de ne pas apprécier.

SUSAN: Tu crois que c'est pas pire de ne pas savoir? De... de... d'imaginer qu'elle a fait des choses monstrueuses?

BREE: Oh, c'est la sampiternelle question non? Que veut-on réellement savoir sur nos voisins?

Dans la piscine des Young, on voit un énorme trou.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Mes amies avaient raison de s'inquiéter, elles savaient que chaque famille a ses secrets. Zach arrive et regarde le trou. Et comme mon fils et mon mari aurait pu le leur dire il est préférable de bien réfléchir avant de les détérrer.

Zach se retourne et voit une pièce de la maison allumée, à l'intérieur Paul porte un petit coffre à jouets qu'il pose sur une table.

Les filles sortent de chez Susan et se disent au revoir.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Après des heures de discussion, mes amies ne s'étaient toujours pas misent d'accord sur la marche à suivre. Alors, elle décidèrent d'en reparler le lendemain matin après une bonne nuit de repos. Mais aucune d'elles ne réussit à dormir cette nuit-là. On voit Susan, dans son lit les yeux grands ouverts. Elles n'arrêtaient pas de penser à mon suicide. On voit Gabrielle, dans son lit pensante. Et à la terrible solitude que j'avais due ressentir. Lynette est elle aussi dans son lit seule et regarde le côté de Tom, triste. Voyez-vous, la solitude était quelque chose qu'elles ne connaissaient que trop bien, elles aussi. Bree, est elle aussi dans son lit et regarde le côté de Rex, qui n'est pas là. Elle se lève et descend en bas. Où Rex est allongé sur le canapé-lit.

BREE: Hum hum.

REX: C'est bon, je dors pas.

BREE: Tant mieux. Je veux te poser une question.

REX: D'accord.

BREE: Tu te souviens quand tu m'as demandé en mariage?

REX: Oh, c'est pas vrai, Bree!

BREE: On étaient assis sur Skylan Drive et on buvait du cidre bouché, quand on a fini la bouteille tu t'es tourné vers moi et tu as dit "si tu m'épouses Bree Messon, je te promets de t'aimer jusqu'à mon dernier souffle.". Et alors, que j'étais fiancée à Tie Grant, alors que mon père ne te trouvait pas à son goût j'ai dit oui.

REX: C'était il y'a très longtemps.

BREE: Tu vas annuler le rendez-vous avec cet avocat et on va aller voir un conseiller conjugal.

REX: Bree, euh...

BREE: Tu as promis.

REX: Euh... d'accord.

BREE: Bien et maintenant je vais aller me faire un bon lait chaud. Tu veux quelque chose à boire Rex?

REX: Oui, mais tout sauf du cidre.

Susan est dans sa cuisine en train de prendre un verre d'eau quand elle apperçoit par la fenêtre Mike en train de promener son chien.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Susan, se réveilla cette nuit-là, seule et assoifée, amis en regardant par la fenêtre, elle vit ce qui pourrait étancher sa soif.

JULIE: Cher Journal, Mike ne sait même pas  que j'existe.

SUSAN: Tu la fermes.

JULIE: Si tu veux sortir avec lui, il faut lui demander.

SUSAN: Je continue à espérer que c'est lui qui me le demandera.

JULIE: C'est efficace!

SUSAN: Tu devais pas faire des brownies pour tes débiles de copains?

JULIE: Je voudrais bien mais, où est le bol doseur?

SUSAN: Le bol doseur?

FLASH BACK

Susan revoit le bol doseur tomber alors qu'elle s'enfuit après avoir mis le feu chez Edie.

FIN FLASH BACK

JULIE: Oui.

SUSAN: Eh bien, il est... il est dans un placard quelque part euh... cherche tu vas le trouver.

Dans la chambre de Gabrielle, Carlos arrive et Gabrielle fait semblant de dormir.

CARLOS: Je sais que tu es réveillé.

GABRIELLE: Je sais que t'es un gros con.

CARLOS: Um, le dîner avec Tanaka a traîné en longueur, désolé.

GABRIELLE: Dis-donc Carlos, je t'ai pas épousé pour pouvoir dîner face à une chaise vide six fois par semaine. Tu sais à quel point je me suis ennuyée aujourd'hui? J'au carrément été à deux doigts de faire le ménage à fond!

CARLOS: Ne me fais pas une scène. J'ai un cadeau.

GABRIELLE: Non. Non, non, non. Cette fois-ci, tu ne t'en sortiras pas comme ça.

CARLOS: Un beau cadeau.

Carlos lui donne une pochette avec un collier dedans.

GABRIELLE: C'est quoi, de l'or blanc?

CARLOS: Oui. Mets-le. Et fait-moi l'amour après.

GABRIELLE: Je ne suis pas d'humeur. Mais on n'est pas obligés de dormir on peut parler.

CARLOS: Hinhahahaha. Quand un homme offre un bijoux hors de prix à une femme, il espère beaucoup de choses en retour. A l'avenir sache que... la conversation ne fait pas parti du lot.

Gabrielle envoie la pochette sur Carlos.

CARLOS: Hé, je plaisantais, ho!

GABRIELLE: Ouais, c'est ça.

Carlos attrape Gabrielle.

CARLOS: Mais enfin, qu'est-ce qui te prends?

GABRIELLE: Lâches-moi!

CARLOS: Depuis un mois, je sais pas ce que tu as, tu es infernale.

GABRIELLE: Arrête.

CARLOS: Qu'est-ce qui va pas? Il faut que tu me le dises! Sinon, je le règle comment le problème?

GABRIELLE: D'accord, alors je trouve ça plus du tout exitant.

CARLOS: Qu'est-ce que tu attends de moi?

GABRIELLE: Je sais pas trop. Redeviens comme tu étais avant. Surprends-moi, ché pas, fais-moi vibrer.

CARLOS: D'accord.

Gabrielle le regarde insistante.

CARLOS: D'ACCORD.

Le matin, Susan vient de se réveiller en gros peignoir et pas coiffée, elle sort les poubelles. Mike est juste à côté.

MIKE: Salut Susan.

SUSAN: Mike?!?

MIKE: Un souci?

SUSAN: Jjjjje... je... je pensais pas qu'il pouvait y'avoir quelqu'un dehors, je... je viens de me lever.

MIKE: Je suis sûr que vous êtes très bien.

SUSAN: Oooooh.

Susan se lève et le chien de Mike se met à aboyer.

MIKE: Oh, doucement, Bomgo arrête.

Julie regarde par la fenêtre ce qui se passe.

MIKE: Bomgo, Bomgo non! Mais, ça suffit! Ex... excusez-le, il est... il prend facilement peur.

SUSAN: Oh non, c'est... je comprends c'est... c'est rien.

MIKE: Je ne voulais surtout pas vous déranger euh...

SUSAN: Haha.

MIKE: A une autre fois. Aller viens.

SUSAN: Ca vous direz de dîner avec moi?

MIKE: Rien que tous les deux?

SUSAN: Hahin. Oui euh... euh... non et... et Julie euh... hum... c'est...c'est ce qu'on fait quand...quand quelqu'un vient d'enménnager dans le voisinage, on... l'invite à venir manger un petit plat fait maison. C'est... une sorte de tradition.

MIKE: Je croyiez que vous étiez nulle en cuisine?

SUSAN: Euh... oui. Mais je commanderais quelque chose.

MIKE: Ah, vous invitez des gens pour un petit plat maison que vous commandez chez le traiteur?

SUSAN: Oui, c'est...c'est une sorte de nouvelle tradition. Je...je... j'improvise.

MIKE: Ah. Hinha. J'ai une idée, si ça vous convient, je fais le dînner et vous venez manger chez moi.

SUSAN: Oh! Génial. Hinhin.

MIKE: Vendredi soir, six heures?

SUSAN: D'accord, j'y serais.

MIKE: C'est d'accord. Tu viens?

SUSAN: Minhin. Oh, aurevoir Bomgo.

Le chien se met à aboyer fort et Susan sursaute.

MIKE: Chuuut.

SUSAN: Hinha.

Julie sourit par la fenêtre et Susan rentre en courant.

SUSAN: Julie, Mike Delfino vient de nous inviter à dînner vendredi!

JULIE: Ah ouais? Cool.

SUSAN: Sauf, que j'irais toute seule bien sûr, parce que t'auras attrapé un petit truc euh... un petit truc pas grave mais qui cloue au lit et qui t'oblige à... à manger liquide. Ouiiiiii!

VOIX OFF MARIE-ALICE: Julie se réjouissait de voir Susan raviver la flamme de l'amour. Oh, bien sûr, elle n'était pas au courant des récentes prouesses de son incendiaire de mère. Plan sur la maison en feu d'Edie.

Edie et Martha Hubber sont dans les décombres de la maison et cherche ce qui a résisté.

EDIE: Tout est parti en fumée, tout ce que mes ex-maris avaient gagnés à la sueur de leurs fronts... envolés.

MARTHA: Ne vous en faîtes pas pour les vêtements, j'ai organisé une collecte auprès des habitants du quartier.

EDIE: Quoi? Mais il est pas question que je porte les vieilleries des autres, moi!

MARTHA: Il faut choisir, sans-abri ou désagréable, vous ne pouvez décamment être les deux.

EDIE: Tiens, ça me fait penser mon assureur tarde à m'envoyer mon chèque. Je peux rester chez vous quelques semaines de plus?

MARTHA: Oh, mais bien sûr, quelle chrétienne refuserait l'hospitalité à une de ses amies dans le besoin?

EDIE: Hmmm.

On voit alors le bol doseur de Susan en mauvais état mais reconnaissable.

MARTHA: Han, regardez! Ca, on va pouvoir le récupérer, votre bol doseur, on peut gratter tout le brûlé et après vous verrez il sera comme neuf.

EDIE: C'est pas mon doseur! Le mien était en plastique.

MARTHA: Comment est-il arrivé ici?

EDIE: Aucune idée. On s'en fiche. Bon maintenant, posez ça et regardez plutôt si vous trouvez des bijoux!

VOIX OFF MARIE-ALICE: Le Docteur Albert Goldfine était le conseiller conjugal, le plus compétent de la ville. Il avait été confronté à des problèmes allant à l'abus de drogue. On voit une jeune fille en tenue de serveuse pleurer et à côté un homme complètement groggy et habillé comme un drogué. A l'infidélité. On voit un homme au look ringard avec des grooses lunettes rondes et à côté une jeune femme sexy avec un haut pailleté, très décolleté une fashion. En passant par la violence conjugale. Il y'a un couple de personnes âgées et la vieille femme prends le paquet de mouchoir pour taper som mari. Oui, le Docteur Goldfine, pensait avoir tout vu. Jusqu'au jour où il rencontra les Van de Kamp.

BREE: Bonjour, je suis Bree et voici mon mari Rex. Je vous ai apportée un pot-pourri de ma composition.

Bree va s'installer.

REX: La réponse est oui, vous allez faire fortune avec nous.

Lynette est au volant de sa voiture et à l'arrière les garçons chahutent et se chamaillent.

LYNETTE: Les garçons! Les GARCONS! Pitié, je vous en conjure, restez-assis! C'EST LA DERNIERE FOIS QUE JE VOUS LE DIT! METTEZ-LA CEINTURE!

Une moto de police de met à la suivre et lui fait signe de s'arrêter.

LYNETTE: Je suis sérieuse, attention je... Oh, zut! Mhhhhh!

Le policier s'avance vers la voiture de Lynette.

AGENT: Papiers du véhicule, s'il-vous-plaît. Madame, savez-vous pourquoi je vous arrête?

LYNETTE: J'ai ma petite idée.

AGENT: Vos enfants faisaient des bonds à l'arrière du véhicule au lieu d'être assis et bien attachés.

LYNETTE: Je...je...je... je sais, je les ai grondés mais ils m'écoutent jamais, c'est très... frustrant.

AGENT: Il faut que vous les fassiez obéir vos enfants. Après tout, c'est votre travail.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Il avait beau être policier depuis six ans, jamais l'officier Heiz, ne s'était retrouvé dans une situation aussi dangereuse. Remarquez, c'était la première fois qu'il donnait des leçons à une mère de famille.

Lynette sort de la voiture très enervée.

LYNETTE: Alors je suis une mauvaise mère?

AGENT: Madame, remontez dans votre voiture.

LYNETTE: Je fais tout toute seule, moi, figurez-vous! Mon mari est toujours en déplacement.

AGENT: Je vous demande de reculer maintenant.

LYNETTE: Ma baby-sitter vient d'intégrer le programme de protection des témoins, j'ai pas fait une nuit complète depuis six ans.

AGENT: Madame...

LYNETTE: Et vous là vous, vous vous ramenez et vous osez me juger!

L'agent a mais la main sur son arme. Pendant ce temps,les garçons s'amusent à faire des grimaces à l'officier de police.

AGENT: Bon, on oublie la contravention. Ce sera un avertissement, pour cette fois.

LYNETTE: J'accepte vos excuses.

Lynette remonte dans sa voiture et commence à démarrer.

AGENT: La ceinture.

On voit de loin une femme monter dans sa voiture et s'en aller. Puis une fois la voiture partir on voit Gabrielle sortir de sa voiture habiller en léopard et sonner à la porte, c'est John qui ouvre.

JOHN: Madame Solis?

GABRIELLE: Bonjour Jonathan.

Gabrielle et John entre dans la chambre de celui-ci.

JOHN: Et voila, c'est ma chambre. Oh, désolé pour le désordre.

GABRIELLE: Oh, ne t'inquiète pas pour ça.

JOHN: Vous avez raté maman. Elle entraîne l'équipe de foot de ma petite soeur le vendredi.

GABRIELLE: Oh, oui c'est ce qu'on m'a dit. Euh, John il faut qu'on parle un peu de ce qui s'est passé l'autre jour.

JOHN: Monsieur Solis ne se doute de rien, si?

GABRIELLE: Non, rassure-toi, il est totalement à l'ouest dieu le bénisse. Non voila, je me suis dit que les jours où tu viens faire le jardin, tu devrais vraiment faire le jardin.

JOHN: Hhho, super! Ah, carrément vous me jetez là! Dans ma chambre en plus.

GABRIELLE: Non non, ce n'est pas une rupture. Dernièrement c'est grâce à toi que j'aie pu tenir le coup. La seule chose c'est qu'on ne peut plus le faire à la maison.

JOHN: Bon. Dans ce cas, où voulez-vous qu'on le fasse?

GABRIELLE: Est-ce que tu sais exactement quand ta maman revient de l'entraînement de foot?

JOHN: Madame Solis.

GABRIELLE: On a peu de temps, tu devrais accélérer.

John commence à embrasser Gabrielle, et celle-ci voit alors une photo de John enfant avec une batte de base-ball, ça semble la gêner elle l'a fait alors tomber.

Dans le bureau du Docteur Goldfine, Bree et Rex sont en consultation et le Docteur les enregistre avec une cassette.

BREE: Nous sommes donc quatres en tout. Mon fils aîné Andrew a 16 ans, Danielle en a 15 et nous...

GOLDFINE: Inutile de sortir les photos, Bree vous avez passé presque toute la séance à parler de broutilles.

BREE: Oh, c'est vrai?

GOLDFINE: Oui, Rex lui s'est montré très locace sur les problèmes qui l'ont conduit ici, euhm... voulez-vous que nous parlions des sentiments que vous inspire votre couple?

BREE: Ho, euuhm... Docte...

REX: Il y'a une chose que vous devez savoir sur Bree, elle n'aime pas parler de ses sentiments, pour être honnete c'est difficile de savoir si elle en a. Est-ce qu'elle éprouve de la colère, de la rage... une joie intense? Mystère. Elle est toujours aimable. Et vous n'imaginez pas à quel point c'est agacant, quelque soit ses sentiments, ils sont enfouis...

Bree remarque alors que le bouton de la veste du Docteur Goldfine est sur le point de tomber et n'écoute plus la conversation, elle se focalise sur le bouton. Elle commence alors à sortir sa petite boîte à couture qui se trouve dans son sac.

GOLDFINE: Euh... Bree. Bree.

BREE: Euuhm... pardon? Oh, je suis désolée.

GOLDFINE: Vous souhaiteriez réagir peut-être à ce que Rex vient de dire?

BREE: Oh, euuhm... euh...

GOLDFINE: Y'a t'il une part de vérité? Les tâches ménagères sont-elles pour vous un moyen de vous désengager émotionellement?

BREE: Bien sûr que non.

Bree range tout à coup sa bôite de couture dans son sac.

BREE: Hinm.

De nouveau dans la chambre de John, Gabrielle se rhabille et John est en caleçon allongé dans son lit.

JOHN: Aaaah, c'est super. J'ai des tonnes de devoir à faire ce soir. C'est plus facile de se concentrer après l'amour.

GABRIELLE: Si j'aie pu être utile, tant mieux. Les études c'est important.

JOHN: Oh, j'ai quelque chose pour vous. Je la gardais pour quand j'irais tondre vôtre pelouse.

John va prendre une magnifique rose rouge.

JOHN: Mais, vu que vous êtes là.

GABRIELLE: Oh, c'est une rose!

JOHN: Pas n'importe quelle rose. Regardez ses pétales, pas un seul défaut. Elle est parfaite.

GABRIELLE: Oh, John.

JOHN: Comme vous.

VOIX OFF MARIE-ALICE: La réalité l'avait clouée sur place.

JOHN: J'ai passé des jours et des jours à la chercher, je l'aie enfin trouvée.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Pour John, il ne s'agissait plus d'une petite histoire sans importance. Gabrielle comprit qu'il était en train de tomber amoureux d'elle.

GABRIELLE: Elle est... magnifique. Je... je dois y'aller! Hmmm.

JOHN: A bientôt.

Mike sort de sa voitura avec plein de sac à la main.

SUSAN: Salut. Hinhin. Qu'est-ce qui y a au menu?

MIKE: Moh euh... j'en ai discuté avec Julie...

Susan lui prend un sac.

MIKE: Merci, je l'ai écoutée ce sera un romsteak. Votre viande préférée, je crois.

SUSAN: Ah, oui j'adore le romsteak.

Edie arrive en voiture.

EDIE: Salut Mike. Susan.

SUSAN: Edie.

MIKE: Je suis désolé pour vôtre maison, vous tenez le choc?

EDIE: Oh, ça peut aller. Ooouh, il y'a une petite fête en prévision?

MIKE: Non, c'est Susan qui m'invita à son traditionnel dînner de bienvenue dans le quartier sauf que c'est moi qui cuisine.

SUSAN: Hahin.

MIKE: Et euh... que c'est moi qui reçoit.

EDIE: Hin. Traditionnel? J' y aie pas eu droit moi.

SUSAN: Oh, euh... disons que c'est une nouvelle tradition.

MIKE: Rien de compliqué, ce sera en toute simplicité.

EDIE: Mmmmmmh, ça donne envie!

VOIX OFF MARIE-ALICE: Susan, sentit un malaise envahir tout son être.

EDIE: Je n'ai mangé que des sandwichs ces derniers temps.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Comme si elle assistait à une catastrophe au ralenti. Elle la voyait venir mais elle était incapable de l'arrêter.

Mike regarde Susan.

SUSAN: Edie, veux-tu te joindre à nous pour ce dînner?

EDIE: Ooh, tu es un ange Susan. Non, non je ne veux pas vous déranger, trois ça fait un de trop.

MIKE: Non, c'est un dînner entre voisins. Enfin... d'ailleurs Susan viendra avec Julie.

SUSAN: Oui, un dînner entre voisins. lus on est de fous plus on rit.

EDIE: Dans ce cas, c'est avec plaisir.

MIKE: D'accord. Demain soir, on passe à table à six heures.

EDIE: Super. Oh, euh... Susan.

SUSAN: Oui?

EDIE: Ca compense, c'est pour le dînner que tu ne m'as jamais offert. Huim.

SUSAN: Exact! Hiinhaha.

EDIE: Ciao.

Edie s'en va.

MIKE: J'aurais ptet du lui dire qu' y aura du steak, Edie n'est pas végétarienne j'espère?

SUSAN: Oh, non, non. Non, Edie est une vraie carnivore.

Martha et Lynette sont sous le porche de celle-ci. Lynete lui donne le carton de vêtements pour Edie.

LYNETTE: Voila, euh... les vêtements pour Edie. Bon, ce n'est pas d'une élégance folle ce que j'ai trouvé.

MARTHA: Oh, ne vous en faîtes pas, elle est réduite à la mandicité, elle ne va pas faire la fine bouche.

Martha sort un haut ringard.

MARTHA: Mais on n'est pas obligé non plus de retourner le couteau dans la plaie.

LYNETTE: Euh... j'étais en train de leur faire à dînner alors...

MARTHA: Oui, message reçu. Je vous aie fait assez retardée.

LYNETTE: Non, non.

MARTHA: Ah, au fait, la conductrice que j'ai vue se faire arrêter, c'était bien vous, n'est-ce pas?

LYNETTE: Oui, les petits chahutaient comme toujours et je n'arrivais pas à les faire asseoir.

MARTHA: C'est tellement têtu parfois les garçons.

LYNETTE: Mais ce n'est pas faute d'essayer, je... je crie c'est vrai, je les menace, je les résonne, je les suplies, rien n'y fait, j...j'ignore si...si c'est parce qu'ils sont encore trop jeunes pour comprendre ou... parcequ'ils éprouvent... une joie perverse à me tester.

MARTHA: Pour ma mère c'était un calvaire de m'avoir dans la voiture. Un jour que j'étais plus infernale que jamais, elle s'est arrêtée et puis elle m'a laissée au bord de la route. Elle est repartie sans se retourner!

LYNETTE: Vous êtes sérieuse?

MARTHA: Oh, elle a tout de suite fait demi-tour, mais je n'ai jamais plus chahuté en voiture. Vous devriez essayer.

LYNETTE: Madame Hubber, vous croyez que je pourrais abandonner mes enfants au bord d'une route?

MARTHA: Ma chère, en matière de discipline, il faut savoir faire preuve de créativité, ma mère le savait ça. Une femme censée, aujourd'hui elle est en maison bien sûr, son pauvre cerveau est en compote.

LYNETTE: Mmmmh, il faut que j'y retourne, je vous l'aie dit, je fais le dînner.

MARTHA: Oh, quelle pipelette je fais, hmm. Aurevoir.

LYNETTE: Aurevoir.

Susan est en train de rentrer chez elle, quand Martha Hubber l'interpelle.

MARTHA: Susan! Avez-vous trouvé de vieux vêtements pour Edie? Elle n'a rien à se mettre sur le dos.

SUSAN: Elle qui adore être en tenue légère, ça tombe bien.

MARTHA: Oh, Susan. Edie est peut-être une fille facile mais elle n'en est pas moins un être humain.

En face, Zach arrose la pelouse. Susan regarde le mot qu'elle garde dans sa poche. Susan va voir Zach.

SUSAN: Zach? Ton père est là? Il faut que je lui parle.

Paul est dans le garage en train de scotcher le coffre à jouets qui est entouré d'une tonne de plastique et que l'on distingue à peine. Zach ouvre le garage et Susan arrive.

SUSAN: Salut Paul.

PAUL: Salut.

SUSAN: J'espère que je ne te dérange pas.

PAUL: Je vais pas tarder à y'aller en fait.

SUSAN: Euh... chui juste passée te dire bonjour et enfin... voir comment vous allez, tous les deux.

PAUL: On essaie d'avancer. C'est pas facile.

SUSAN: Je peux juste imaginer. Vu que je ne sais pas pourquoi Marie-Alice...

PAUL: Pourquoi, quoi?

SUSAN: Pourquoi, elle a fait ça?

Paul tente de mettre le coffre dans la voiture.

SUSAN: Oh, attends je vais t'aider.

PAUL: C'est bon, ça va aller.

SUSAN: Excuse-moi, si je t'aie choqué.

PAUL: Je peux te parler franchement?

SUSAN: Oh, bien sûr!

PAUL: Je me fous de savoir quelles ont été ses raisons. Peut-être qu'elle était déprimée et peut-être qu'elle s'enuyait, quelle importance? Elle a abandonné son mari et son fils et ça je lui pardonnerais jamais.

Paul monte dans sa voiture et s'en va.

Susan est chez elle et réfléchit.

VOIX OFF MARIE-ALICE: En observant Susan, je ne pus m'empêcher d'être désolée pour elle. Elle avait tellement envie de savoir pourquoi j'avais fait ça.

Paul est sur une route isolée près d'un lac, il prends le coffre et le jette à l'eau, celui-ci coule au fond du lac.

VOIX OFF MARE-ALICE: Pourquoi, je m'étais suicidée? Il ne suffit pas de vouloir la vérité. I l faut savoir où la chercher. Et la vérité n'est pas facile à trouver parce qu'elle sait où se cacher.

Julie est dans la cisine et regarde les sacs des courses, quand on toque à la porte c'est Madame Hubber.

MARTHA: Bonjour Julie. J'aie vue avec ta maman pour la collecte de vêtements pour Edie.

JULIE: Elle est chez Madame Van de Kamp mais je vais aller voir si elle n'a pas fait un paquet.

Julie s'en va. Martha entre et regarde ce qu'il y a dans les sacs de course. Elle sort un parfum et l'essaye puis elle trouve un bol doseur. Julie revient à ce moement.

MARTHA: Oh, euh... Julie. Euh, j'étais en train de, d'admirer vôtre euh... nouveau bol doseur.

JULIE: Hin, on n'a perdu celui qu'on avait.

MARTHA: Sans blague?

JULIE: Bon, j'ai rien trouvé en haut, chui désolée.

MARTHA: Oh, ça ne fait rien.

JULIE: Si vous-voulez, je peux remonter voir.

MARTHA: Non, tu en as fait plus qu'il ne fallait. Vraiment.

Madame Hubber s'en va.

Bree est dans la salle d'attente du cabinet du Docteur Golfine, il arrive.

GOLDFINE: Bree, je viens d'avoir Rex au téléphone, il ne pourra pas vous retrouver ici aujourd'hui. Un imprévu qui nécéssite sa présence à l'hôpital semble-il.

BREE: Oh, je regrette qu'il ne m'ait pas appellé.

GOLDFINE: Il a laissé entendre que vous aimeriez peut-être que je vous prenne exeptionellement en séance... individuelle. Euh, vous êtes restée très discrète lors des séances en couple.

Bree remarque à nouveau le bouton sur le point de tomber, sur la veste du Docteur.

BREE: Comment? Oh, euh... non, non sans façon, j'ai une quantité folle de choses euh, à faire aujourd'hui.

GOLDFINE: Ah, vous, vous êtes sûre?

BREE: Euuh... oui! J'en suis certaine.

GOLDFINE: D'accord.

Bree commence à s'en aller et revient finalement, elle toque et ouvre la porte.

BREE: Docteur Goldfine, il y'a une chose que vous pouvez faire pour moi.

GOLDFINE: Quoi dont?

BREE: Enlevez vôtre veste.

Gabrielle et Susan rentre chez Gabrielle avec des sacs de shopping à la main.

GABRIELLE: Alors maintenant, tu enmènne Julie à ton dînner en tête-à-tête avec Mike?

SUSAN: Oui, comme Edie sera de la fête, je vais avoir besoin d'un soutien moral.

GABRIELLE: J'hallucine, elle a réussi à se mettre sur le coup? Pourquoi tu l'as laissée s'incruster?

SUSAN: Je sais pas, j'étais sur le point de l'envoyer dans les cordes mais tout s'est passé si vite.

GABRIELLE: Bon, tu sais ce que tu vas faire? Tu vas arriver en avance et passer du temps avec le beau Mike avant que ce baracouda ne surgisse.

SUSAN: Ca, c'est une idée. Edie arrivera à six heures moins le quart, ce qui veut dire que sa paire de lolos sera là à cinq heures et demie, donc je dois y être à cinq heures.

GABRIELLE: Bravo. Je vais monter tout ces sac dans ma chambre.

SUSAN: Je vais garder mon seul et unique sac et rentrer.

GABRIELLE: D'accord. 

SUSAN:Eh, elle est belle cette rose! Où tu l'as eu?

GABRIELLE: Oh, c'est John qui me l'as donné.

SUSAN: Quoi? John? Ton jardinier, il t'a donné une rose?

GABRIELLE: Oui. Je fais mettre de nouveaux massifs de fleurs devant et il me l'a donné pour que je voie la couleur.

SUSAN: Oh.

GABRIELLE: Oui.

SUSAN: D'accord. Elle est belle, tu trouves pas?

Susan s'en va.

GABRIELLE: Oui, très.

Dans le cabinet du Docteur Goldfine, Bree est en train de recoudre le bouton de se veste.

GOLDFINE: Euh, je... him, ne crois pas que Freud approuverait ceci.

BREE: On se moque de ce que pense Freud, j'ai fait psycho à la faculté, il m'a enseigné tout ce qu'il faut savoir sur lui, abjecte humainement parlant.

GOLDFINE: Qu'est-ce qui vous fait dire ça?

BREE: Mais oui, réfléchissez. Il était enfants dans les années 1860, à l'époque il n'y avait pas d'électroménager. Sa mère devait tout faire à la main elle se... elle se tuait à la tâche la pauvre du matin au soir. Sans parler des innombrables sacrifices qu'elle a probablement du faire dans l'interêt de sa famille et lui qu'est-ce qu'il fait? Il devient un homme, il devient un célèbre en colportant une théorie selon laquelle une majorité des problèmes d'adultes pourrait avoir un lien avec une chose affreuse que leur mère aurait faite. Oh, j'imagine combien elle a dûe se sentir trahie, il a vu le travail qu'elle a fournie, il a vu ce qu'elle a fait pour lui. As-t'il songé ne serait-ce qu'un seul instant à la remercier? J'en doute.

Bree qui a finit aide le Docteur Goldfine a remettre sa veste.

BREE: Et voila.

GOLDFINE: A titre d'information, beaucoup de théories Freudiennes ont depuis lors été dicréditées.

BREE: Tant mieux!

Lynette est en voiture et les garçons chahutent toujours.

GARCONS: Aller, on joue? Ouais! Aller, ouaiis héhéhé. Super, ouis c'est trop rigolo!

LYNETTE: C'est bon là, je ne veux pas vous le redire les garçons, assis! Je ne rigole pas ok? Je suis sérieuse, attention vous, vous allez avoir des gros problèmes si vous ne restez pas assis et attachés!

Les garçons parlent tout doucement.

PARKER: On va jouer autrement, ouais. Ca va être rigolo.

Les garçons regardent Lynette malicieusement.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Ce fût le déclic, Lynette comprit qu'il ne s'agissait pas d'enfantq qui jouaient en toute innocence, ils la provoquaient. Donc, elle décida que le moment était venu de faire preuve de créativité.

Lynette s'arrête dans un quartier résidentiel, sort de la voiture et ouvre la portière arrière.

LYNETTE: Sortez! Vous n'êtes pas sages? Alors pas question de rester dans la voiture. Toi descends et que ça saute!

Les 3 garçons sont dehors. Et Lynette s'en va.

LES GARCONS: Où est-ce qu'elle va? Je sais pas. Où est-ce qu'elle va?

Lynette s'est arrêtée à l'angle d'une rue et attends quelques secondes.

LYNETTE: Ok. Maman est un génie. Cinq, six c'est bon.

Lynette fait demi-tour mais quand ell revient les garçons ne sont plus là. Lynette descend complètement paniquée.

LYNETTE: Han, ho, ho! Hooo, ho! Oh non! Je reviens, maman revient. Les garçons? Les garçons?!? OU ETES VOUS? LES GARCONS! PORTER? PRESTON, PARKER? SI VOUS VOUS CACHEZ CA SUFFIT MAINTENANT! PARCE QUE MAMAN NE TROUVE PAS CA DROLE DU TOUT!

Une grosse femme sort d'une maison.

LYNETTE:  Oh, excusez-moi, je suis désolée mais je cherche mes fils, trois petits rouquins, est-ce que vous les auriez-vu par hasard?

FEMME: Vous aussi, je vous ait vue, vous êtes partie en les laissant tout seuls.

LYNETTE: Je sais ils étaient déchaînés, je voulais juste leur faire peur, est-ce que vous savez où est-ce qu'ils sont allés?

FEMME: Oui, oui ils sont dans ma cuisine.

LYNETTE: Ooooh!

FEMME: Bon, écoutez, apparemment vous avez un peu de mal à maîtriser votre colère.

LYNETTE: J'ai... quatre enfants, âgés de moins de six ans et absolument oui, j'ai du mal à maîtriser ma colère.

Lynette essaie de passer mais la femme l'en empêche.

FEMME: Oui, eh bah vous devriez aller consulter. Parce que abandonner ses enfants c'est...

LYNETTE: Oh! Mais je, je suis revenue, je ne les ait pas abandonnées!

FEMME: Non, moi ce que je dit c'est que ce n'est pas normal.

LYNETTE: Oui, mais mes enfants ne sont pas normaux, je suis désolée je n'ait pas le temps alors je... venez les garçons, oh!

FEMME: Si vous voulez les récupérer il va falloir vous calmer d'abbord.

Les garçons arrivent derrière.

LYNETTE: Dans la voiture.

PORTER: Y'a des gateaux chez elle.

LYNETTE: Bon, prenez-les, on s'en va.

FEMME: Non, non, non restez où vous-êtes mes lapins.

LYNETTE: Alors là, pas question!

Lynette essaie de nouveau de passer mais la femme l'attrape fermement par le bras.

FEMME: Ma petite dame, il faut qu'on discute.

PORTER: Vous allez laisser ma maman tranquille!

LYNETTE: Mais enfin, lachez-moi! Qu'est-ce qui vous prends?

Porter commence à mordre la cuisse de la femme. Et les deux autre la poussent.

FEMME: Espèce de petite... Aaah.

La femme tombe par-terre.

LYNETTE: Han! Courez les garçons, courez!

PARKER: Viite!

Les garçons courent et montent dans la voiture. Lynette fait de même. Pendant ce temps, la femme s'est relevée.

LYNETTE: Oh, c'est pas vrai!

FEMME: Revenez-ici!

La femme se met à courir.

LYNETTE: Bon, les garçons il faut mettre vôtre...

Lynette se retourne mais les garçons on déjà mis leur ceinture, Lynette semble satisfaite, elle démarre et s'en va en trombe.

FEMME: REVENEZ OU JE PREVIENS LES SERVICES SOCIAUX!

Gabrielle est dans ses escaliers et regarde la rose en souriant. Quand elle entend soudain le klaxon d'une voiture. Elle sort une magnifique voiture de sport noire. Entourée d'un noeud de papier cadeau.

GABRIELLE: Han! Ca alors, c'est pas vrai, Carlos! Hinhin.

CARLOS: Je l'ait vue en passant devant chez le concessionaire, je me suis dit, "Gabrielle serait sublime là-dedans.".

GABRIELLE: Carlooos! Haaa!

CARLOS: Héhinhin.

GABRIELLE: Hahaha! Ouuah!

CARLOS: Elle m'a coûté la peau des fesses.

GABRIELLE: C'est pas vrai!

CARLOS: Système de navigation intégrée, enceinte stéréo 200 watts, radar de recul...

GABRIELLE: Oh, mon chéri, elle est magnifique! Hanhoo!

CARLOS: Alors? Est-ce que je t'ai fait vibrer?

GABRIELLE: Oh, mais tout à fait! Haa!

CARLOS: Hinhinhinhinhin. C'est pas le plus beau cadeau que t'ai jamais eu?

VOIX OFF MARIE-ALICE: Gabrielle savait combien ce geste avait côuté à Carlos, alors elle réagit à sa manière, elle n'en connaissait pas d'autre.

Gabrielle sourit et embrasse Carlos, puis elle lui saute dans le bras.

GABRIELLE: Hahahahahahahaha!

On voit alors John arriver de loin et les regarder l'air triste.

VOIX OFF MARIE-ALICE: A quoi bon, répondre sincèrement à la question de son mari, il n'aurait pas compris, en fin de compte, rare sont les hommes qui comprennet la valeur que peut avoir une petite rose parfaite.

Susan, s'apprête à toquer à la portde Mike, quand elle aperçoit Bomgo, qui se met à grogner et à aboyer. Susan sursaute puis sonne à la porte. Mike ouvre.

SUSAN: Ah.

MIKE: Susan!

SUSAN: Euh, je vous déange pas? Je suis venue plus tôt pour vous donner un coup de main.

MIKE: Oui, oh euhm...

Edie apparaît sortant de la cuisine avec un tablier autour du cou.

EDIE: Salut Susan.

SUSAN: Haha.

EDIE: Oh, rassure-toi, Mike et moi on contrôle la situation. Humhumhu.

MIKE: Oui.

SUSAN: Ooh, hinhaha. Euh...

Bomgo se remet à aboyer.

MIKE: Bomgo! C'est fous ça, pourquoi il vous aboie toujours dessus?

SUSAN: Hinhéhé.

EDIE: Moi, j'y verrais rien de personnel. Les chiens sont très sensibles, qu'est-ce qui ya mon Bomgo, hein? C'est dur de savoir ce qui leur fait peur, hum?

Edie acresse bOmgo, et celui-ci ne dit rien.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Susan eut l'impression d'avoir entendue un son de cloche au loin.

EDIE: Un drôle de bruit? C'est ça? Qu'est ce que c'était? Une drôle d'odeur, peut-être, hum?

Mike regarde Edie et Bomgo en souriant.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Le premier round avait commencé.

Rex et Bree sont en consultation avec le Docteur Goldfine.

REX: Non, je dis seulement que cette théorie selon laquelle il faut être deux pour qu'un mariage échoue est de la connerie. S'il y'a des problèmes dans nôtre couple c'est à cause d'elle.

BREE: Je regrette, c'est faux Rex.

REX: D'accord, très bien, dis-moi ce que j'ait fait de si épouventable durant ces vingt dernières années?

Le Docteur Goldfine regarde le bouton de se veste qui a été recousu par Bree.

REX: Tu n'as rien à répondre parce que j'ai été un mari merveilleux et que ça te tuerait d'admettre ça.

GOLDFINE: Rex, par curiosité, vous arrive t'il de reconnaître es bienfaits de la vie commune avec Bree?

REX: Hein?

GOLDFINE: Oui, vous l'avez vous-même reconnu, vôtre maison est toujours impeccable, vos vêtements toujours repassés et elle est semble t'il une cuisinière hors-pair, alors magré ces défaut, l'idée vous vient-elle parfois de lui dire... merci?

REX: Lui dire merci?

GOLDFINE: Ouais.

Chez Mike, tout les convives sont à table, quand Bomgo monte dessus et se met à lécher l'assiette d'Edie.

EDIE: Hmmm! Oh, hum!

MIKE: Oh! euh... Bomgo, Bomgo!

EDIE: Oooh, oh!

MIKE: Descends de la, aller! Descends de là!

EDIE: Aller vas t'en, aller!

MIKE: Désolé, hinhin. Chui désolé.

EDIE: Bomgo! Hihi.

MIKE: Oui alors euh, c'est qui le type en face de chez Madame Hubber?

SUSAN: Hmm, hum, c'est Monsieur Mullen, il faut savoir que si il vous invite a entrer chez lui il vous présentera toutes ses bébêtes.

MIKE: Oh, mais c'est pas grave j'adore les animaux.

SUSAN: Il est taxiderniste. Hinhinhinhihihi.

MIKE: Oh, oui. Ah d'accord, hahaha. Merci pour la mise en garde. Hinhinhin.

EDIE: C'est pas le frère de Monsieur Mullen qui s'est occupé de ton divorce?

SUSAN: Euh, si, si c'est lui.

EDIE: Humhm, j'ai envie de te dire une chose, au... au fond de moi Susan, je suis persuadée que toi et Karl vous vous remettrez ensemble.

MIKE: Vraiment?

EDIE: Oh oui, oui je n'ai jamais vu deux personnes s'aimer autant qu'eux, ce qui veut dire qu'elle ne trouvera jamais quelqu'un avec qui le courant passe aussi bien.

SUSAN: Haain!

EDIE: Jamais.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Garder le sourire, Susan ne pouvait rien faire de plus à ce stade. C'était le deuxième round, elle s'en prenait déjà plein la figure.

JULIE: Ah, au fait Madame Britt...

VOIX OFF MARIE-ALICE: Edie avait oublié un détail...

JULIE: Devinez qui j'ai toujours bien aimé...

 VOIX OFF MARIE-ALICE: Susan avait une alliée sur le ring.

JULIE: Monsieur Roswell. Votre quatrième mari.

EDIE: Oh, c'était mon second mari, je n'ai été mariée que deux fois. Hinhin.

JULIE: Deux fois? Vous n'étiez pas mariée avec le type tatoué sur tout le corps qu'ils ont embarqués avec des menottes?

SUSAN: Non Julie, elle n'a jamais été mariée avec Javier, c'était juste un de ses nombreux amis. On devrait changer de sujet vous ne croyez pas? Euh, sauf si tu veux en parler encore un peu.

Bomgo remonte soudain sur la table.

EDIE: Haan!

MIKE: Bomgo! Descend!

EDIE: Non ce n'est rien c'est rien. Je vais vous montrer quelque chose, Bomgo.

MIKE: Il raffole de sauce.

EDIE: Allez hop. Pendant que vous prépariez la salade je lui ait appris quelque chose. Debout.

Edie se lève et tiens un bout de viande plein de sauce au bout de sa main, elle tend le bras, Bomgo se met sur ses deux pates arrière et tourne autour d'elle.

EDIE: Oh, oui bravo c'est bien.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Susan était furieuse contre Edie qui se servait d'un chien pour obtenir les faveurs de son maître. Furieuse contre Mike aussi aveuglé par une manoeuvre aussi grossière.

SUSAN: Bon euh...

VOIS OFF MARIE-ALICE: Mais surtout...

SUSAN: Vous savez quoi je vais chercher le dessert hinhin.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Furieuse contre elle-même. Pourquoi n'avait elle pas eu cette idée la première.

MIKE: J'arrive à peine à le faire asseoir.

EDIE: Oh, c'est un gentil chien. Tu es le plus beau des toutous. Parfaitement.

MIKE: Je ne l'avais jamais vu marcher sur deux pattes.

EDIE: C'est qu'il sait vers qui aller. Hein Bomgo?

MIKE: Oui ça a tout de suite accroché.  Ca a l'air de l'amuser.

SUSAN: Voila ton dessert.

EDIE: Merci, mmmh, Mike ca a l'air délicieux. Miam miam.

MIKE: Haha.

EDIE: Mmmmh.

Susan est dans la cuisine quand elle voit le pot à sauce, elle trempe alors les doigts dedans et s'en met derrière l'oreille et sur la main. Susan revient alors avec les desserts, elle passe devant Bomgo et lui fait sentir sa main qu'il met tout de suite à lécher et Susan s'accroupit et Bomgo lui lèche le cou et l'oreille.

MIKE: Oh, regardez on direr que Bomgo est enfin décider à faire ami-ami avec Susan.

SUSAN: Hinhahahaha. Au début, c'était loin d'être gagné mais maintenant on s'adore. Hinhahahaha.

MIKE: Oui.

SUSAN: Hahahaha, ouuh il est gentil le chien. Hinhahaha.

Soudain le chien se met à tousser bizarement.

SUSAN: Bomgo, qu'est ce qu'il y'a?

EDIE: Qu'est ce qui lui arrive?

MIKE: J'en sais rien, je ne l'ai jamais entendu faire ça. Ca va mon grand?

JULIE: Maman!

Julie fait signe qu'elle n'a plus qu'une seule boucle d'oreille, Bomgo a avalé la deuxième.

MIKE: Eh, ca va? Ca va?!

Mike comprend lui aussi et n'a pas l'air content.

Mike est dehors il porte Bomgo dans ses bras et le met dans la voiture les filles sont derrière.

MIKE: Appelez le vétérinaire, dîtes lui que j'arrive son numéro est sur le frigo.

EDIE: D'accord. Surtout ne vous faîtes pas de souci, moi je vais rester là je vais tout débarasser.

MIKE: Merci Edie.

SUSAN: Est ce que je peux vous être utile?

MIKE: Non!

Chez le vétérinaire, Mike fait les cent pas quand Susan arrive.

SUSAN: Salut.

MIKE: Salut.

SUSAN: Alors comment est-ce qu'il va?

MIKE: Hmm, pour l'instant j'attend de savoir si ils doivent opérer.

 SUSAN: Oh non! Rhha, euh...

Susan sort un os en cahotchouc de son sac.

SUSAN: J'ai euh... en venant j'ai... j'ai acheté ça pour euh... Si vous saviez comme je suis désolée.

MIKE: Je m'en veux de vous avoir envoyer promener, je... j'étais tellement inquiet...

SUSAN: Ah non, non! C'est rien.

VETERINAIRE: Bonne nouvelle, l'opération ne sera pas nécéssaire.

SUSAN: Oh! C'est formidable. Hinhin.

VETERINAIRE: On vient de lui donner un laxatif pour qu'il expulse la boucle d'oreille. Voulez-vous qu'on la cherche une fois que ce sera fait?

SUSAN: Ah euh... c'est, c'est pas utile, non.

VETERINAIRE: Très bien, vous devriez pouvoir repartir avec Bomgo dans une heure a peu près.

SUSAN: Wahoo. Vous devez être drôlement soulagé.

MIKE: Je suis désolé, j'étais vraiment très inquiet et...

SUSAN: Oh, c'est votre chien c'est logique.

MIKE: Non en réalité, Bomgo n'est pas mon chien c'est le chien de ma femme. Une des dernières choses qu'elle m'ait demandé à l'hopital avant son décès, c'est de veiller sur lui et naturellement je lui ait promis de bien m'en occuper.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Soudain, Susan comprit quelque chose qui lui avait échappé jusque là.

MIKE: Ah, il comptait tellement pour elle, je...

VOIX OFF MARIE-ALICE: Mike Delfino était toujours amoureux de sa défunte épouse.

MIKE: Et si quelque chose lui arrivait j'aurais l'impression de la trahir. Je sais que ça a l'air bête mais je...

VOIX OFF MARIE-ALICE: Il était désormais évident que ni elle ni Edie ne pourrait de sitot revendiquer une place dans le coeur de Mike.

SUSAN: Non, je vous assure, pas du tout.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Donc elle décida que pour l'heure elle se contenterait d'être son ami.

Susan tend l'os à Mike.

SUSAN: C'est pour vous. Haha. Enfin pour Bomgo, vous le lui donnerez.

Edie est chez Mike en train de tout débarasser, elle ouvre le plaquard pour ranger des bouteille.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Oui, quand je reviens sur le monde que j'ai laissé derrière moi, tout a l'air tellement évident.

Un peu plus bas, ce qu'Edie ne voit pas c'est de gros paquets de billets, et le plan de Wisteria Lane avec des indications.

VOIX OFF MARIE-ALICE: La beauté qui attend d'être révélé.

Juste au dessus toujours des plans mais avec un revolver en plus.

VOIX OFF MARIE-ALICE: Les mystères, impatients d'être élucidés. Mais les gens sont sur leurs lancées. Ils prennent trop rarement le temps de s'arrêter et de regarder autour d'eux. Quel dommage vraiment, il y'a tant de choses à voir.

Le coffre à jouets que Paul avait balancé à l'eau remonte soudain à la surface.

 

Rédigé par missrav

Previously on Desperate Housewives…

(MARY ALICE takes a box off a shelf in the closet. Looking worried and distraught, she shakily

puts a revolver to her temple. We see a finger pulling the trigger, and a loud shot is heard. The

camera stays on the YOUNG family picture, as the blurred reflection of MARY ALICE is shown

in the frame of the picture falling to the ground.)

(Cut to: )

GABRIELLE: if Mary Alice was having some sort of crisis, we’d have known. She lives 50 feet away, for God’s sakes.

SUSAN: Gabby, the woman killed herself. Something must’ve been going on.

(Cut to: )

GABRIELLE: Every time I’m around that man, he tries to grab my ass!

CARLOS: I made over $200,000 doing business with him last year. If he wants to grab your ass, you let him.

(Cut to: )

JOHN: Why aren’t you happy?

GABRIELLE: Turns out I wanted all the wrong things.

(Cut to: )

GABRIELLE: What’s that?

BREE: It’s a letter, addressed to Mary Alice.

(GABRIELLE and LYNETTE read the piece of paper. They pass it to SUSAN, who reads the

note with BREE looking over her shoulder:

“I KNOW WHAT YOU DID

IT MAKES ME SICK

I’M GOING TO TELL”

SUSAN: Oh Mary Alice, what did you do?







OPEN ON: [EXT. GRAVEYARD -- DAY]

(We open on a lily flower planted on the ground of the graveyard. We pan to Mary Alice’s freshly buried grave, where we see her tombstone:

MARY ALICE YOUNG

11.18.65 – 9.26.04

Beloved Wife and Mother

There are two bunches of orangey-red roses on either side of the tombstone.)

NARRATOR: An odd thing happens when we die. Our senses vanish. Taste, touch, smell and sound become a distant memory. But our sight, ah, our sight expands. And we can suddenly see the world we’ve left behind so clearly. Of course, most of what’s visible to the dead can also be seen by the living, if they only take the time to look.

(Cut to: GABRIELLE, with her eyes closed, naked as she lies underwater in her bathtub, holding her breath.)

NARRATOR: Like my friend Gabrielle. I should’ve seen how unhappy she was. But I didn’t. I only saw her clothes from Paris;

(Flashback to: GABRIELLE giggling as she twirls, wearing a beautiful black dress, walking towards CARLOS, who takes her hand and pulls her towards him, kissing her.)

NARRATOR: And her platinum jewellery;

(Cut to: GABRIELLE, holding her hair back, excited as CARLOS fastens a necklace around her neck, a piece of paper, presumably the bill!, wedged in his mouth.)

NARRATOR: And her brand new diamond watch.

(Cut to: CARLOS, handing GABRIELLE an open box as he walks by, talking business on his cell phone. GABRIELLE smiles when CARLOS hands her the box, but the smile fades as CARLOS walks off, still talking on his phone.

End of Flashback. Resume to present.)

NARRATOR: Had I looked closer, I’d’ve seen that Gabrielle was a drowning woman, desperately in search of a life raft. Luckily for her, she found one.

(GABRIELLE sits up, smiling as she leans towards JOHN as they kiss.)

NARRATOR: Of course, Gabrielle only saw her young gardener as a way to infuse her life with a little excitement. But now, she was about to discover just how exciting her life could get.

(Cut to: CARLOS in his car, pulling in the driveway. We flash between scenes of GABRIELLE kissing JOHN, giggling as CARLOS gets out, holding a briefcase in his hand. As he slams the door, GABRIELLE stops, hearing a noise. She peeks out the window and sees CARLOS walking along the path towards the house.)

GABRIELLE: Damn it! (grabs JOHN’s arm, pulling him out of the bathroom) Come on.

JOHN: Whoa!

(GABRIELLE and JOHN hurry down the stairs, slipping and sliding as they go.)

GABRIELLE: Come on, come on, hurry! Let’s go, let’s go!

(They run into the living room. GABRIELLE grabs the strewn clothes on the floor, shoving them at JOHN.)

JOHN: Where’re the rest of my clothes?

(CARLOS stops at the bottom of the path, opening the letterbox to get the mail.)

GABRIELLE: I’ll find them, just get out!

JOHN: Where?

(GABRIELLE looks around, sees the back windows facing the side garden. She points at the window.)

GABRIELLE: Out the window.

JOHN: What?

GABRIELLE: Go, go!

(As JOHN tries to get out the window, GABRIELLE looks at the door, panicked as we cut to CARLOS walking up the steps of the front porch. GABRIELLE pushes JOHN out the window, grabbing his towel as she wraps her hair in the towel JOHN was using. She smiles at CARLOS who walks in.)

GABRIELLE: Hi honey, you’re home early!

CARLOS: My meeting got cancelled. (looks at GABRIELLE as he puts down his things on the table.) You just took a shower this morning.

GABRIELLE: I, uh, I just finished a workout.

(GABRIELLE’s smile fades as she sees JOHN’s jeans in the corner of the couch, luckily hidden from CARLOS’ view. She walks towards CARLOS, covering the jeans with a cushion.)

CARLOS: Mmm. Where’s John?

GABRIELLE: John?

CARLOS: Yeah. That’s his truck out front.

(GABRIELLE is speechless, her mouth moving, but no sound coming out of her mouth.)

NARRATOR: Gabrielle was panicked. She knew if her husband discovered her secret, she would feel the full force of his wrath.

JOHN: Hey Mr. Solis.

(We pan to the open front window, where JOHN is seen, trimming the hedge with his shears. He is wearing his flannel shirt.)

CARLOS: Hey, John, did you take care of that ficus yet?

JOHN: I’ll get to it as soon as I’m done here.

CARLOS: Alright. We need to talk about the hedges later.

(JOHN flashes GABRIELLE a brief, shy smile as GABRIELLE breathes a sigh of relief.)

NARRATOR: But she was quickly reminded that what Carlos couldn’t see, couldn’t hurt her.

JOHN: Yeah, sure, no problem.

(The camera pans to the outside view, where we see JOHN, wearing only his flannel shirt and nothing else, as he stands on a stepladder, pretending to trim the hedges. Hehe. Yummy.)





Opening Credits

[OPEN ON: INT. MEYER HOUSE - KITCHEN -- NIGHT]

(We open to look out the kitchen window, where we see the darkened YOUNG house opposite

SUSAN’s house. The camera pans to show LYNETTE sitting on the kitchen counter, rubbing her neck with one hand. We then see BREE holding a dishcloth and wiping her hands, her face sombre, as GABRIELLE holds a glass of red wine in her hands. SUSAN is sitting at the table. They are all looking at the kitchen table, where, in front of SUSAN, lays the mysterious warning letter found in MARY ALICE’s belongings. The camera cuts to show a face shot of SUSAN, GABRIELLE, BREE, then LYNETTE. They all look solemn.)

NARRATOR: The peaceful façade of Wisteria Lane had recently been shattered. First by my suicide, and then by the discovery of a note among my belongings that suggested a suspicious reason for my desperate act. My friends gathered to discuss its implications

SUSAN: (sighs) I think we should give it to Paul.

GABRIELLE: He’s still mourning, Susan, he’ll probably freak out.

SUSAN: It doesn’t matter, she was his wife. He deserves to have all the facts.

BREE: Well, we could do it gently. We could tell him about it over coffee and pastry. (hands LYNETTE a cup of tea.)

LYNETTE: (sips the tea) That would be fun. Paul, we have proof your wife killed herself over some deep dark secret. Another “?”?

GABRIELLE: We could always call the police.

LYNETTE: Maybe it’s just some sort of sick joke.

BREE: Well if it was a joke, it was in very poor taste.

SUSAN: No, this was serious, I know it was. We gotta find out what was going on.

LYNETTE: (puts the cup of tea down on the counter and slides off to lean against the counter) Let’s say we do. There’s a chance we’re not gonna like what we find.

SUSAN: Well, isn’t it worse to be in the dark, imagining she did all these horrible things?

BREE: It’s the usual question, isn’t it? (SUSAN looks up at BREE.) How much do we really wanna know about our neighbours?

(SUSAN looks at GABRIELLE, who looks down at the letter. The camera pans to show the threatening letter.)



[FADE TO: EXT. YOUNG HOUSE -- NIGHT --- LATER]

(ZACH stands at the bottom of the emptied pool, looking down into a deep, dark hole that PAUL dug up. He looks back at the dark house, where we cut to PAUL staggering into the garage, carrying a large, heavy chest. It looks like it hasn’t been opened for a long time.)

NARRATOR: My friends were right to be concerned. They knew that every family has its secrets. And as my son and husband could’ve told them, you need to think carefully before digging them up.



[CUT TO: EXT. MEYER HOUSE -- NIGHT --- LATER]

(We see our four housewives walking towards the gate. They say their farewells, as SUSAN walks back into her house. LYNETTE walks along the left path, GABRIELLE walks along the right path and BREE crosses the street – all in four different directions.)

NARRATOR: After talking for hours, my friends still hadn’t agreed on what to do with the note. So, they decided to talk about it in the morning after a good night’s rest. But no one could fall asleep that night. They each kept thinking of my suicide, and how terribly alone I must’ve felt. You see, lonely was something my friend’s understood all too well.

(Cut to: SUSAN, lying awake in her bed as she sighs.)

(Pan to: GABRIELLE, lying alone in her bed, CARLOS’ side empty. She looks frustrated, angry and sad.)

(Pan to: LYNETTE, who turns her head to the empty side of the bed. Presumably TOM is on another one of his business trips.)

(Pan to: BREE, who still looks very prim and proper lying in her bed with a proper white, frilly, lacy nightgown. But, it’s sleeveless. Sassy ;). BREE sighs as she looks sideways at the empty side of the bed. We cut to BREE walking down the stairs to the living room, tying the cord of her dressing gown. She stops at the foot of the makeshift bed where REX is lying, back towards the camera. She “ahem”s.)

REX: (turns around) Its okay, I’m up

BREE: (smiles) Good. I have a question for you.

REX: (rolls his eyes, and gets up, sitting next to BREE on the side of the bed.) Okay.

BREE: Do you remember when you proposed?

REX: For god’s sake.

BREE: We sat on Skyline Drive and drank a bottle of apple wine. And when we finished it, you turned to me and you said, If you marry me, Bree Mason, I promise to love you for the rest of my life. And even though I was engaged to Ty Grant, and even though my father didn’t like you, I said yes.

REX: That was a long time ago.

BREE: You’re gonna cancel the meeting with that divorce lawyer, and we’re gonna find ourselves a marriage counsellor.

REX: Bree, I…

BREE: (looks crestfallen) You promised.

REX: Alright.

BREE: (smiles) Good, I’m gonna go make myself some, uh, warm milk. Would you like something to drink?

REX: Anything but apple wine.



[CUT TO: INT. MEYER HOUSE - KITCHEN -- NIGHT --- LATER]

(SUSAN stands at the kitchen counter, filling a glass filled with water. She takes a sip as she looks out the window. She sees MIKE walking his dog across the road, sighing.)

NARRATOR: Susan awoke that night alone and parched. And as she gazed out her window, she saw the tall drink of water she needed to quench her thirst.

JULIE: Dear Diary, Mike doesn’t even know I’m alive.

SUSAN: Shut up.

JULIE: If you wanna date him, you’re gonna have to ask him out.

SUSAN: I keep hoping he’ll ask me out.

JULIE: How’s that going?

SUSAN: Shouldn’t you be making brownies for your nerdy friends?

JULIE: I can’t find the measuring cup. Have you seen it?

SUSAN: The measuring cup? (flashbacks to dropping the measuring cup in the living room of the BRITT house.)

JULIE: Yeah.

SUSAN: Hm. (flashbacks to SUSAN yelping, the living room on fire, then to the firefighters trying to save the burning house.) Uh, well it’s gotta be here somewhere. Just keep looking.



[CUT TO: INT. SOLIS HOUSE - BEDROOM -- NIGHT --- LATER]

(The bedroom door opens, and CARLOS walks in. He goes to the walk-in closet and takes off his suit jacket. GABRIELLE’s eyes are closed.)

CARLOS: I know you’re awake.

GABRIELLE: I know you’re a jerk.

CARLOS: Dinner with Tanaka ran long, I’m sorry.

GABRIELLE: (sits up) You know, Carlos, I didn’t marry you so I could have dinner by myself 6 nights a week. You know how bored I was today? I came this close to actually cleaning the house.

CARLOS: Don’t be that way. I got you a gift.

GABRIELLE: Nope. No, no, no, no. you’re not gonna buy your way outta this one.

CARLOS: It’s a good gift. (lays on the bed next to her, and tosses the jewellery box next to GABRIELLE.)

GABRIELLE: Is that white gold?

CARLOS: Yeah. Put it on. (kisses GABRIELLE’s shoulder) And then make love to me.

GABRIELLE: I’m not in the mood. But, we could stay up and talk.

CARLOS: (laughs and gets up, walking to the table at the end of the bed) When a man buys a woman expensive jewellery, there are many things he may want in return. For future reference, conversation ain’t one of ‘em.

(GABRIELLE throws the box at him, pissing off. Jerk.)

CARLOS: Hey, that was a joke.

GABRIELLE: Yeah, right. (throws the bedcovers back and gets up)

CARLOS: (catches hold of her by her arms) What the hell’s wrong with you?

GABRIELLE: Let go of me.

CARLOS: You’ve been acting like a nightmare for a month. What’s wrong?

GABRIELLE: Stop.

CARLOS: I can’t fix it unless you tell me.

GABRIELLE: (throws her arms free, and sits back on the bed, sighing) It’s not exciting anymore, Carlos.

CARLOS: (sighs, sits on the bed next to her) So what am I supposed to do?

GABRIELLE: I don’t know. Be the way you used to be, surprise me, take my breath away.

CARLOS: (sighs) Okay. Okay.



[CUT TO: EXT. MEYER HOUSE -- DAY]

(The front door opens, and SUSAN walks out, holding a bag of rubbish. She looks like she literally just rolled out of bed. She stifles a yawn as she opens the rubbish bin at the kerb, stuffing the plastic rubbish bag into it. We see MIKE a little distance away behind her, walking his dog again. He turns at the sound of SUSAN dumping the rubbish.)

MIKE: Hey Susan.

SUSAN: (stops short, eyes wide, not turning around) Mike!

MIKE: What’s wrong?

SUSAN: I didn’t realize anyone was gonna be out here, I just sorta rolled outta bed.

MIKE: I’m sure you look fine.

SUSAN: Oooh. (fixes herself, then turns around, smiling.)

MIKE: (pulls Bongo back as the dog starts barking at SUSAN, who looks startled) Ooh, Bongo, Bongo! Shh.. Sorry, uh, he scares easy.

SUSAN: No, it’s fine, I get it.

MIKE: I didn’t mean to disturb you. I’ll see you later. (turns around to go)

SUSAN: D—do you wanna have dinner with me?

MIKE: (turns back towards SUSAN) Just the two of us?

SUSAN: Heh, well, and Julie. Uh, it’s a thing we do when somebody new moves into the neighbourhood, we invite them over for a home-cooked meal. Sort of a tradition.

MIKE: You said you were a lousy cook.

SUSAN: Well. I order takeout.

MIKE: Oh, you invite them over for a home-cooked meal and you order takeout.

SUSAN: Yeah, it’s sort of a new tradition. I’m working out the kinks.

MIKE: (chuckles) I’ll tell you what. How ‘bout I cook? And you guys come over to my place.

SUSAN: Oh. Great.

MIKE: Friday night at six?

SUSAN: I’ll be there.

MIKE: Alright.

SUSAN: (laughs, bending down towards Bongo) Bye, Bongo.

(Bongo barks at SUSAN, who jumps back, laughing tentatively. SUSAN runs back into the house, excited. JULIE watches her smiling at her mother’s obvious excitement. SUSAN bursts into the kitchen door.)

SUSAN: Julie? Mike Delfino just invited us to dinner Friday night.

JULIE: He did? Cool.

SUSAN: But only I’m going. Because you’re gonna come down with something semi-serious that requires bed-rest and fluids. (runs up the stairs as she squeals)



[CUT TO: EXT. BRITT HOUSE -- DAY]

(EDIE and MRS. HUBER are sifting through the burnt-out shell of the house.)

NARRATOR: Julie was glad Susan was rekindling her love life. Of course, she was unaware of her mother’s recent track record with fire.

EDIE: It’s all gone. Everything my ex-husband’s worked for all those years. Gone.

MRS HUBER: Don’t worry about clothing, I already started a collection from people in the neighbourhood.

EDIE: (picks up a little burnt pot, and puts it in a bucket) What? I don’t wanna wear other people’s old crap.

MRS HUBER: Edie, you can be homeless or you can be ungracious. You really can’t afford to be both.

EDIE: (picks up a semi-burnt pink bra, and sighs) That reminds me. My insurance cheque still hasn’t come yet. Can I stay with you for a few more weeks?

MRS HUBER: Of course. What kind of Christian would I be if I denied shelter to a friend in need? (spots SUSAN’s burnt measuring cup on the ground)Oh look, here’s something we can salvage, your measuring cup. We can just scrape off the burnt part and it’ll look good as new.

EDIE: That’s not my cup. Mine was plastic.

MRS HUBER: Well, how did it get in here?

EDIE: I don’t know. Who cares? Now would you put that down and start looking for jewellery? (MRS. HUBER holds onto the burnt glass measuring cup, looking suspicious.)



[CUT TO: INT. DR. GOLDFINE’S OFFICE -- DAY]

NARRATOR: Doctor Albert Goldfine was the most accomplished marriage counsellor in the city. He had dealt with problems ranging from substance abuse, to infidelity, to domestic violence. Yes, Dr. Goldfine thought he had seen it all. And then, he met the Van De Kamp’s.

(DR. GOLDFINE is sitting at his desk, writing when he hears a knock at his office door. He walks over to open it. BREE and REX are standing there. BREE is looking sparkly and happy as usual, while REX looks on, incredulously exasperated.)

BREE: Hi, I’m Bree, and this is my husband Rex. And I brought you some homemade pot pourri. (She hands him a packet of pot pourri as she walks past him into the office.)

REX: (pats DR. GOLDFINE on the shoulder) The answer is yes, you’re about to make a fortune off us.

(DR. GOLDFINE looks ambushed. Teehee.)



[CUT TO: INT. SCAVO CAR -- DAY]

LYNETTE: Boys, guys, I’m begging you, sit in your seats. I’m not gonna tell you again! Buckle up! I mean it, so help me, I… (A police motorcycle drives up behind her, siren sounding) Oh .. crap! (She stops the car.)

OFFICER: (the policeman gets off his bike and walks to LYNETTE’s window) License and registration please. (accepts the documents from LYNETTE) Ma’am, you know why I pulled you over?

LYNETTE: I have a theory.

OFFICER: Your kids are jumping up and down; they should be sitting, wearing a seatbelt.

LYNETTE: I yelled at them. They never listen to me, it’s very frustrating.

OFFICER: Well, you’re gonna hafta find a way to control them. After all, that’s your job. (Walks off back to his motorbike)

NARRATOR: Though he’d been a policeman for 6 years, Officer Hayes had never found himself in a truly dangerous situation. Then again, he had never before told a woman how to raise her children.

(LYNETTE sits with her hands on the wheel of her car, looking pissed.)

LYNETTE: (gets out of her car, slamming the door) You saying I’m a bad mother?

OFFICER: Ma’am, you need to get back in your car please.

LYNETTE: (slowly walks towards the policeman) I have no help, my husband’s always away on business.

OFFICER: I’m gonna hafta ask you to step back now. (slowly moves his hands towards his weapon)

LYNETTE: My babysitter joined the witness relocation program. I haven’t slept through the night in 6 years.

OFFICER: Ma’am..?

LYNETTE: (gets right in the policeman’s face) And for you to stand there, and judge me.

OFFICER: Okay. I’m not gonna give you a ticket. I’m just gonna let you off with a warning.

LYNETTE: I accept your apology. (takes her license and registration from his hands and gets back in her car.)

OFFICER: Buckle up!



[CUT TO: EXT. ROWLAND HOUSE -- DAY]

(We see someone (JOHN’s mum) come out the front door, get in their car and drive off. As soon as the car drives down the road, a car door opens, and a pair of leopard-print high-heels steps out of the car. It’s GABRIELLE, who looks around, a little shiftily. She walks – struts – across the street. A doorbell is hear, and JOHN opens the door to GABRIELLE.)

JOHN: (smiles) Mrs. Solis!

GABRIELLE: Hello Jonathan.

(Cut to: JOHN and GABRIELLE walk into his room. JOHN closes the door behind them.)

JOHN: Well, this is my room. Sorry about the mess.

GABRIELLE: Oh, well, don’t... (hesitates as she sees his messy room) …worry about it.

JOHN: You just missed my mom. On Friday she coaches my little sister’s soccer team.

GABRIELLE: (takes a half-eaten sandwich on a plate off JOHN’s bed, putting it on his desk) Oh yes, I heard that. Uh, John, we need to talk about what happened the other day.

JOHN: Mr. Solis isn’t starting to catch on, is he?

GABRIELLE: (sits on the edge of his bed) No, no, he doesn’t have a clue, God love him. It’s just, I was thinking, that when you come over to garden, you might actually have to garden.

JOHN: Great, you’re breaking up with me. In my own bedroom.

GABRIELLE: No, no, no, I’m not dumping you. Lately, you’ve been the only thing keeping me going. It’s just, we can’t do it at my house anymore.

JOHN: Oh, so then, where do you wanna do it?

GABRIELLE: Well, uh, what time does your mom get back from soccer practice?

JOHN: (smiles a little shyly) Mrs. Solis.

GABRIELLE: You better hurry, we don’t have a lot of time.

(JOHN rips his shirt off as he walks over to GABRIELLE, laying her down on the bed as he kisses her neck. GABRIELLE catches sight of a picture of a younger JOHN playing baseball next to the bed. She flips the photo down out of sight, then smiles.)



[CUT TO: INT. DR. GOLDFINE’S OFFICE -- DAY]

(The camera opens on a recording voice-recorder as we hear BREE talking in the Van De Kamp’s therapy session.)

BREE: And so, there’s just the four of us. My oldest son Andrew is 16, Danielle is 15, and…(looks down as she reaches into her purse)

DR GOLDFINE: (hastily) I don’t need to see pictures. Bree, you’ve spent most of the hour engaging in small talk.

BREE: (smiles serenely) Oh, have I?

(REX flashes BREE a sideways glance.)

DR GOLDFINE: Yes. Rex has been very vocal about his issues. Don’t you want to discuss your feelings about your marriage?

BREE: (shifts uncomfortably, smoothing her hair) Um, Doc…mm…

REX: This is the thing you need to know about Bree. She doesn’t like to talk about her feelings. To be honest, it’s hard to know if she has any. (BREE looks at REX incredulously.) Does she feel anger, rage, ecstasy? Who knows? She’s always… pleasant. And I can’t tell you how annoying that is. (BREE catches sight of a loose button on DR. GOLDFINE’s jacket. She stares at it, lost in thought as REX’s words start sounding distorted as she loses concentration in the conversation) Whatever she feels is so far below the surface that.. that noone can see… she uses all those domestic things..

(BREE keeps staring at DR. GOLDFINE fiddling with his loose button as she unconsciously reaches down into her bag, taking out a handy sewing kit.)

DR GOLDFINE: Bree? Bree.

BREE: What? I-I’m sorry.

DR GOLDFINE: Would you like to respond to what Rex just said?

BREE: Oh, I..(looks lost for words)

DR GOLDFINE: Is there some truth there? Do you use housework as a way to disengage emotionally?

BREE: Of course not. (drops the sewing kit back in her bag quickly. Teehee. Gotta love the woman.)



[CUT TO: INT. ROWLAND HOUSE - JOHN’S BEDROOM -- DAY --- LATER]

(JOHN is laying back in his bed, wearing just his boxers, sighing with contentment. GABRIELLE is sitting at the edge of his bed, putting her earrings back on.)

JOHN: This is great. I got tons of homework tonight. It’s so much easier to concentrate after sex.

GABRIELLE: I’m glad I could help. Education is very important.

JOHN: Oh, I got something for you. I was gonna give it to you the next time I mowed your lawn, but since you’re here… (gets a single rose from his shelf.)

GABRIELLE: Oh, it’s a rose.

JOHN: It’s not just any rose. Look at all the petals. There’s no flaws, it’s perfect.

GABRIELLE: Oh, John.

JOHN: Just like you.

NARRATOR: The truth hit her like a thunderbolt.

JOHN: I spent days looking for this one. Finally found it.

NARRATOR: For John, this was no longer a meaningless little affair. Gabrielle could now clearly see he was falling in love with her.

GABRIELLE: (smiles at him) It’s just beautiful. I, uh, I gotta go.

JOHN: Bye..



[CUT TO: EXT. DELFINO HOUSE -- DAY --- LATER]

(MIKE is getting bags of groceries out of his truck, nudging the door shut. SUSAN runs across his lawn towards him.)

SUSAN: Hey you. What’re we having?(takes a bag of groceries from him)

MIKE: I talked to Julie, thanks, and she suggested rib-eye steaks. She said it’s your favourite.

SUSAN: Oh yeah, I love my steak.

(A silver sportscar, maybe Porsche?, drives up and stops at the bottom of MIKE’s driveway. EDIE toots the horn.)

EDIE: Hi Mike. Susan.

(MIKE walks back down the driveway towards the car.)

SUSAN: Edie. (sighs as she walks down to join MIKE.)

MIKE: Hey, I’m sorry about your house. How you holding up?

EDIE: Alright, I guess. (opens the car door and steps out.) Oh, is somebody having a party?

MIKE: No, Susan’s just throwing me one of her traditional welcome-to-the-neighbourhood dinners. Only I’m cooking. And having it at my house.

EDIE: (laughs) Traditional. Hm. I didn’t get one.

SUSAN: Oh, it’s sort of a new tradition.

MIKE: Well it won’t be anything fancy, just a little home cooking.

EDIE: Mmm, that sounds so good.

NARRATOR: Susan suddenly had an awful feeling in the pit of her stomach.

EDIE: I’ve been having nothing but fast food lately. (rummages through MIKE’s grocery bags, taking out a grape and eating it seductively, staring at MIKE.)

NARRATOR: As if she was watching an accident in slow motion. She knew it would happen, but was powerless to stop it.

(MIKE turns around to look at SUSAN, cocking his head as if to ask if it’s okay.)

SUSAN: Edie, would you like to join us for dinner?

EDIE: Oh that’s so sweet. No, I don’t wanna intrude. Three’s a crowd.

MIKE: No, it’s not like that. I mean, Susan’s bringing Julie.

SUSAN: It’s not like that. The more the merrier.

EDIE: Well, this’ll be fun.

MIKE: Alright. Tomorrow night. We’ll eat at six.

EDIE: Great. Oh, and Susan.

SUSAN: Yeah.

EDIE: This’ll make up for the dinner that you never threw me.

SUSAN: Right. (laughs feebly)

EDIE: Ta!

MIKE: I haven’t, ah, told her we were having steak. She’s not like a vegetarian, is she?

SUSAN: Oh, no, no. No, Edie’s definitely a carnivore.



(Pan to: SCAVO HOUSE, where MRS. HUBER is standing on the porch. She’s peering out onto the road, watching EDIE’s silver car drive off as EDIE toots the horn again. LYNETTE comes out of the front door with a box of clothing.)

LYNETTE: Here’s, uh, here’s what I pulled for Edie. I should warn you, most of the clothes in there aren’t that stylish.

MRS HUBER: Oh don’t worry about it, Edie’s a beggar now, which means she can’t be a chooser. (sorts through the box of clothing, then pulls out a yellow-and-orange shirt, giving it back to LYNETTE) Of course we don’t have to add salt to the wound.

LYNETTE: Listen, I was just getting dinner ready.

MRS HUBER: Say no more. I’ll get out of your hair.

LYNETTE: No, no.

MRS HUBER: By the way, was that you I saw getting pulled over by a policeman?

LYNETTE: Yeah, the boys were acting up in the car, I couldn’t get them to sit down..

MRS HUBER: Young boys can be so wilful.

LYNETTE: I try everything. I scream, I threaten, I reason, I beg, nothing works. I don’t know if it’s because they’re too young and they don’t understand, or if they’re just getting some perverse joy out of testing me! (looks frazzled, rubbing her eyes with her fingers)

MRS HUBER: My mother used to have the worst time with me in the car, so one time when I was acting up, she stopped and left me on the side of the road, and she drove off.

LYNETTE: You’re kidding.

MRS HUBER: Oh, she came back immediately. But I never misbehaved in the car again. You should try that.

LYNETTE: Mrs. Huber, I could never leave my kids by the side of the road.

MRS HUBER: When it comes to discipline, sometimes you must be creative. My mother knew that. Smart lady. Of course she’s in a home now, and her mind has just turned to mush.

LYNETTE: Well, like I said, I should go back and get dinner ready.

MRS HUBER: Oh right. Well. Goodbye.

LYNETTE: Goodbye.



(Pan to: MRS. HUBER walking across the road as she passes by SUSAN, stopping her.)

MRS HUBER: Susan! Have you been able to find old clothes for Edie? She has nothing to wear.

SUSAN: I thought that was a look she was going for.

MRS HUBER: Oh Susan. Edie may be trash, but she’s still a human being.

(MRS. HUBER walks down the road as the camera stops on ZACH standing in the front garden of the YOUNG house, watering the lawn. SUSAN stops, looking at ZACH as she takes the mysterious letter out of her pocket and looks at it.)

SUSAN: Zach? Is your dad home? I need to talk to him.

(ZACH opens the YOUNG’s garage door, where PAUL is inside, duct-taping the mysterious box shut.)

SUSAN: Hey Paul.

PAUL: Hey. (continues securing the box)

SUSAN: I hope I’m not interrupting.

PAUL: Actually I was getting ready to go somewhere.

SUSAN: I just wanted to come by and say hello, you know, see how you guys are doing.

PAUL: We’re trying to move on. It’s been pretty tough.

SUSAN: I can only imagine. Not knowing why Mary Alice…

PAUL: Why what? (lifts the box off the table, almost dropping it)

SUSAN: Why she did it. Oh! Let me help you.

PAUL: I got it, I’ve got it. (pulls the box away from SUSAN as he heaves it into the open trunk of his car. He shuts the trunk, then goes to the front of the car, opening the driver’s-seat door.)

SUSAN: Sorry if I upset you.

PAUL: Can I be frank?

SUSAN: Of course.

PAUL: I don’t care what her reasons were. Maybe she was depressed, maybe she was bored. She abandoned her husband and her son. And I’ll never forgive her.

(PAUL gets in the car and shuts the door. He drives off, as SUSAN stands in the driveway, watching him drive away.)

NARRATOR: As I watched Susan, I couldn’t help feeling sorry for her. She wanted so much to know why I did it.

[CUT TO: EXT. WILDERNESS -- NIGHT --- LATER]

(PAUL moves the heavy box out of his car trunk, and dumps it into a river. He watches as it floats for a few seconds, then slowly sinks to the dark depths.)

NARRATOR: Why I killed myself. It’s not enough to want the truth. You must know where to look for it. And the truth is elusive, because it knows where to hide.



[CUT TO: INT. MEYER HOUSE -- AFTERNOON]

(JULIE is in the kitchen. She opens the back door to MRS. HUBER.)

MRS HUBER: Hello Julie, I talked to your mom about donating some clothes for Edie.

JULIE: She’s at Mrs. Van De Kamp’s, but I’ll see if she left some stuff upstairs.

(JULIE runs up the back stairs. MRS. HUBER walks into the kitchen, sauntering over to peer into the grocery bags. She takes out a perfume spray, spraying some on her neck. She coughs as she puts it back in the bag, then takes out… (gasp) a new glass measuring cup. She looks up as a revelation hits her. JULIE comes back down the stairs, stopping at the landing as she sees MRS. HUBER holding the measuring cup.)

MRS HUBER: Oh Julie. I-I was just, um, just admiring your new measuring cup.

JULIE: Yeah, we lost ours. (takes the measuring cup back)

MRS. HUBER: Really.

JULIE: So I couldn’t find the clothes, I’m sorry.

MRS HUBER: That’s okay.

JULIE: If you want me to keep looking.

MRS HUBER: No, you’ve done more than enough. Truly.

(MRS. HUBER walks out the back door. JULIE stands there, looking like she’s thinking “you weird old lady.” Teehee.)



[CUT TO: INT. DR. GOLDFINE’S OFFICE -- DAY]

(BREE is sitting in the waiting room of DR. GOLDFINE’s office, turning as he opens the door of his office.)

DR GOLDFINE: Bree, Rex just called, he won’t be able to meet you here today. Apparently, there was an emergency at the hospital.

BREE: Oh. Well, I wish he had called me. (stands up, slinging her bag onto her shoulder as she walks towards DR. GOLDFINE)

DR GOLDFINE: He suggested maybe you’d like to meet with me by yourself? You’ve been very quiet in our joint sessions.

BREE: (again notices DR. GOLDFINE’s loose button, distracted) What? Oh, oh, oh no, thank you. I have some things that I, I need to do today.

DR GOLDFINE: Are you sure?

BREE: Uh, yeah, I’m sure.

DR GOLDFINE: Okay. (shuts his office door.)

(BREE walks out of the office… then turns around decidedly, goes back and knocks on DR. GOLDFINE’s office, walking in. DR. GOLDFINE looks up.)

BREE: Dr. Goldfine. There is something you can do for me.

DR GOLDFINE: What’s that?

BREE: Take off your coat. (shuts the office door)

(DR. GOLDFINE looks startled. Hee.)



[CUT TO: INT. SOLIS HOUSE -- DAY]

(GABRIELLE and SUSAN walk in the front door, holding many, many shopping bags.)

GABRIELLE: So now you’re taking Julie on your dinner date with Mike?

SUSAN: Yeah, well, if Edie’s gonna be there, I’m gonna need emotional support.

GABRIELLE: I can’t believe she wormed her way in. How did you let her do that?

SUSAN: I don’t know, I was gonna take her out at the knees, but it all happened so fast.

GABRIELLE: Well, you know what you need to do. You need to get there early, spend a little time with Mike before little barracuda gets there.

SUSAN: That’s a good idea. Edie will get there at 5:45, which means her breasts will arrive at 5:30, so I should shoot for 5.

GABRIELLE: Attagirl. I’m just gonna take these upstairs.

SUSAN: I’m gonna keep my one little bag and go home.

GABRIELLE: Okay.

SUSAN: That is a beautiful rose. Where did you get it? (leans down to smell the rose)

GABRIELLE: Oh, John gave it to me. (stops halfway up the stairs, cringing as she says it)

SUSAN: John? Your gardener, he gave you a rose?

GABRIELLE: Yes, I am having some new bushes planted outside, and he gave me that as a colour palette.

SUSAN: Oh. Okay. Sure is beautiful, isn’t it? (turns around and walks out the front door)

GABRIELLE: Yes it is.



[CUT TO: INT. DR. GOLDFINE’S OFFICE -- DAY --- LATER]

(DR. GOLDFINE is leaning against his desk, watching as BREE sews his button back on.)

DR GOLDFINE: I’m sure Freud would not approve of this.

BREE: Oh, who cares what he thinks? I took psychology in college, we learned all about Freud. A miserable human being.

DR GOLDFINE: What makes you say that?

BREE: Well, think about it. He grew up in the late 1800’s, there were no appliances back then. His mother had to do everything by hand, just backbreaking work from sunup to sundown. Not to mention the countless other sacrifices she probably had to make to take care of her family. And what does he do? He grows up and becomes famous, peddling a theory that the problems of most adults can be traced back to something awful their mother has done. (sighs) She must have felt so betrayed. He saw how hard she worked; he saw what she did for him. Did he even ever think to say, thank you? I doubt it. (smiles at DR. GOLDFINE, helping him put his jacket back on.) There you go.

DR GOLDFINE: Just so you know, many of Freud’s theories have been discredited.

BREE: Good. (smiles, turns to leave)



[CUT TO: INT. SCAVO CAR -- DAY]

(LYNETTE is driving, and again, the SCAVO kids are misbehaving. Screaming, yelling, standing up, moving around. Ugh. Devil-kids.)

LYNETTE: Boys, I am not gonna tell you again, sit. I mean it, I am serious. You guys are gonna be in so much trouble if you don’t sit back in those seats.

(The three kids suddenly go quiet, whispering in each other’s ears, giggling maliciously, peering at LYNETTE, cackling. LYNETTE looks back in the mirror, seeing them mocking her.)

NARRATOR: For the first time, Lynette could see this was not the innocent play of children. She was being challenged. So she decided it was time to get creative.

(LYNETTE stops the car by the side of the road. She marches the kids out of the car.)

LYNETTE: Out. Can’t behave, you heard me, can’t ride. You, out. Move it.

(LYNETTE gets back in the car, looks at the three noisy kids on the sidewalk and drives off. The kids stand there, watching her drive off.)

SCAVO KIDS: Where she’s going? I don’t know. Where’s she going?

(LYNETTE pulls her car into a random driveway.)

LYNETTE: Okay. (to the baby) Mommy’s a genius! Five, six, alright. (spots the empty sidewalk where she left her kids) Uh. Oh! Uhh. I’ll be right back, Mommy’ll be right back.

(LYNETTE parks the car and gets out. She looks around the front garden of a house frantically searching.)

LYNETTE: Boys? Boys? Boys?? If you’re hiding, you’ve gotta stop now cause Mommy doesn’t think it’s funny!

(A LADY comes out of the front door of the house LYNETTE is searching through.)

LYNETTE: Oh! Excuse me, I’m sorry, I’m looking for my boys. Three boys with red hair, have you seen ‘em?

LADY: Yeah, I also saw you drive away and leave ‘em.

LYNETTE: I know, I was just trying to scare them into behaving. Did you see where they went?

LADY: Yeah, yeah, they’re in my kitchen.

(LYNETTE puts a hand over her heart, relieved)

LADY: Listen, uh, it seems to me that you have some anger management issues.

LYNETTE: I have 4 kids under the age of six, I absolutely have anger management issues. (tries to go into the house as the woman stops her)

LADY: Yeah, well I think you need to talk to somebody, because abandoning your children…

LYNETTE: I-I-I didn’t abandon them, I came back! (tries to go into the house again, and the woman stops her)

LADY: Yeah, I’m just saying, it’s not normal.

LYNETTE: Well, my kids aren’t normal, and now I don’t have time for this, lady, so. Boys! Get out here. (tries to go into the house a third time as the woman stops her – again.)

LADY: No, I don’t think they should go anywhere until you calm down.

LYNETTE: Oh. Get in the car.

PARKER: She’s got cookies!

LYNETTE: Well, bring ‘em, we’re leaving.

LADY: Oh, no, no, no. Stay put.

LYNETTE: Oh, I don’t think so. Oh! (tries to go towards her kids as the woman grabs onto LYNETTE’s elbow, pulling her back)

LADY: Listen, lady, you and I are gonna talk.

PARKER: Leave my mommy alone!

LYNETTE: Let go of me! What’s the matter with you? (one of the kids bites the woman’s leg as another pushes her down onto the grass) Run, boys, run!

(LYNETTE and the kids run towards the car and get in.)

PORTER: Come on!

LYNETTE: Oh, crap.

LADY: (gets back up, running towards the SCAVO’s car) You get back here!

LYNETTE: Boys, you’re gonna need to put on your…(turns around as she sees all three boys putting on their seatbelts. She turns around, adjusting her glasses smugly.)

LADY: Get back, or I’m gonna call Social Services! (watches as the SCAVO’s drive off)



[CUT TO: INT. SOLIS HOUSE -- DAY]

(GABRIELLE is sitting on the stairwell, looking at the one perfect rose sitting in a glass on the front foyer table. She hears a horn as she gets up and peers out the front door. She gasps as she walks out the door to see CARLOS standing next to a beautiful, sleek black sportscar with a huge red ribbon against the hood..)

GABRIELLE: Oh, my god. Carlos, what have you done?

CARLOS: I saw it when I drove by the dealership. I thought, Gabrielle would look so beautiful in this.

GABRIELLE: Carlos! (pushes him against the chest in excitement as he laughs, sorta evily.)

CARLOS: Cost me an arm and a leg. It’s got GPS navigation, 200-watt stereo system, rear parking sensors.

GABRIELLE: God, it’s beautiful!

CARLOS: So, did I take your breath away?

GABRIELLE: Absolutely!

CARLOS: Is it the best gift you’ve ever gotten?

NARRATOR: Gabrielle could see what this gesture had cost Carlos, so she responded the only way she knew how.

(GABRIELLE kisses CARLOS as he picks her up. She wraps her legs around his waist as he twirls her around, laughing together.)

NARRATOR: She had a feeling the truth would’ve been lost on her husband anyway. After all, it’s the rare man who understands the value of a single, perfect rose.

(We pan to across the street, where JOHN stands with a rake in his hands, looking desolate as he watches the SOLIS’ affectionately kissing and laughing together.)



[CUT TO: EXT. DELFINO HOUSE -- DAY --- AFTERNOON]

(SUSAN walks decidedly up the walkway and up the porch steps. She gasps as Bosco suddenly gets up from where he’s lying by the side of the porch, half-wagging his tail as he growls and barks at SUSAN. She sighs, startled as she rings the doorbell. MIKE opens the door, surprised to see her.)

MIKE: Susan.

SUSAN: I hope you don’t mind, I thought I’d come by early and help you set up.

MIKE: Oh, um.

(EDIE comes from inside the kitchen, coming to stand next to MIKE at the door.)

EDIE: Hey, Susan. Don’t worry, Mike and I have got everything under control.

SUSAN: Oh. (laughs)

MIKE: Bongo! I don’t know why he barks at you.

EDIE: Oh, I wouldn’t take it personally. Dogs are very sensitive. (goes to Bongo, patting him, rubbing him, looking at SUSAN innocently) What’s up, Bongo, huh? You never know what freaks them out, huh?

NARRATOR: In the distance, Susan thought she heard a bell ring.

EDIE: Oh, is it a strange noise, huh? What is it? A weird smell? What is it?

NARRATOR: (A bell sounds) Round one had started.



[CUT TO: INT. DR. GOLDFINE’S OFFICE -- DAY]

(DR. GOLDFINE is listening as BREE sits on the couch next to REX, who’s talking animatedly.)

REX: Look, all I’m saying is that this whole it-takes-two-to-mess-up-a-marriage theory is bull. The problems that we have are because of her.

BREE: (crosses her arms) That is not true, Rex.

REX: Alright, fine. What have I been doing for the past 20 years that’s been so awful? You’re not saying anything because I’ve been a great husband and it kills you to admit that.

(DR. GOLDFINE looks down, fiddling with his newly-sewn button as REX talks.)

DR GOLDFINE: Rex, I’m curious. Do you ever acknowledge the benefits of living with Bree?

(BREE turns slowly to look at DR. GOLDFINE, beginning to see where this is going.)

REX: Huh?

DR GOLDFINE: By your own admission, your home is always clean, your clothes are always freshly pressed, sounds like a wonderful cook. Despite her flaws, do you ever remember to say thank you?

(A slow smile appears on BREE’s face as she looks at DR. GOLDFINE, silently thanking him for sticking up for her.)

REX: Thank you?

DR GOLDFINE: Yes. (moves his eyes towards BREE, who smiles and looks at REX, who just looks annoyed.)



[CUT TO: INT. DELFINO HOUSE -- NIGHT --- LATER]

(MIKE, SUSAN, JULIE and EDIE are sitting at the table, eating. Bongo half-jumps onto the table to lick EDIE’s plate.)

MIKE: Bongo, Bongo, get down, down.

EDIE: Go on, uh-uh, go on.

MIKE: Down. I’m sorry, I’m sorry. (to SUSAN) So, um, who’s the guy who lives across from Mrs. Huber again?

SUSAN: Mm, that’s Mr. Mullin. And just so you know, if he invites you in, you have to meet all of his pets.

MIKE: That’s okay, I love animals.

SUSAN: He’s a taxidermist. (laughs)

MIKE: Oh. Okay, thanks for the warning.

EDIE: (is annoyed at the easy-going camaraderie between SUSAN and MIKE) Isn’t Mr. Mullin’s brother your divorce attorney?

SUSAN: Uh, yes, yes he was.

EDIE: Can I say something? In my heart, I still believe you and Carl are gonna get back together. (winks at JULIE, who looks amused, looking at SUSAN)

MIKE: Really?

EDIE: Oh, yeah. I’ve never seen two people more in love. I mean, she’s never gonna find that kind of chemistry with another man. Never!

(SUSAN smiles, head tilted away from MIKE as she runs a hand through her hair, forcibly smiling)

NARRATOR: It was everything Susan could do to keep a smile on her face. Round two was under way, and she was already taking a beating.

JULIE: You know what, Mrs. Britt, do you know who I always liked?

NARRATOR: What Edie hadn’t counted on was Susan had someone else in her corner.

JULIE: Mr. Rothwell. Your 4th husband.

EDIE: Oh, he was my 2nd husband. I’ve only been married twice.

JULIE: Twice? You weren’t married to the guy with all the tattoos that they took away in handcuffs?

SUSAN: No, Julie, she wasn’t married to Xavier. That was just one of her special friends. I think we should change the subject, you know, unless you wanna keep talking about it.

EDIE: (is happily distracted by Bongo jumping up to lick EDIE’s plate again) Oh!

MIKE: Bongo, get down.

EDIE: Oh wait, wait. Let me show you something. Bongo, Bongo, come! While you were in there tossing the salad, I taught him something. (holds a bit of food up in the air as Bongo jumps up on two feet, reaching for the food as he ‘walks’ around on two feet) Up! Oh, what a good boy!

(SUSAN shoots a glance at MIKE, who is watching EDIE and Bongo, laughing and smiling)

NARRATOR: Susan was furious at Edie for using a dog to ingratiate herself with its owner. She was also furious with Mike for not seeing through this blatant manoeuvre.

SUSAN: So, you know what? I am gonna go get dessert. (gathers the plates and walks into the kitchen)

NARRATOR: But mostly, she was furious at herself for not having thought of it first.

(SUSAN stacks the dirty dishes in the sink. She hears EDIE and MIKE’s conversation as they play with Bongo outside, furious.)

EDIE: You are such a smart boy!

MIKE: I can barely get him to sit.

EDIE: You are a good dog. Yes you are!

MIKE: (laughs) I’ve never seen him walk on two legs. Look at that!

EDIE: Well, he knows who to come to, doesn’t he? He knows who to come to.

(SUSAN dips two fingers into the gravy as she smears it across her neck and hands, grinning at her ‘brilliant’ idea. She comes back out again, holding three plates of strawberry shortcake. )

SUSAN: Here’s your dessert.

EDIE: Thank you. Mmm, Mike, this looks yummy.

(SUSAN moves her hand in front of Bongo’s face as Bongo licks SUSAN’s hand, then her neck as she bends down.)

MIKE: Oh, look at that. Looks like Bongo’s finally warming up to Susan.

(EDIE watches, furious as SUSAN laughs and giggles. MIKE watches, laughing as JULIE smiles.)

SUSAN: Ooh, we just got off on the wrong foot, we’re really best buddies now. Oh, what a good boy! (Bongo starts to wheeze, and SUSAN looks at him.) Bongo, are you okay?

EDIE: What’s wrong with him?

MIKE: I don’t know, I’ve never heard him make that sound. (gets up and bends down next to Bongo, who’s still wheezing.) Hey, you okay, fella?

JULIE: Mom? (gestures to SUSAN’s ear, where one earring is missing. Uh oh. SUSAN’s eyes go wide as she looks at MIKE, who just looks at her crossly.)

(Cut to: MIKE, holding Bongo as he hurries down his porch steps towards his truck. He puts Bongo on the back seat. EDIE, SUSAN and JULIE come out after him.)

MIKE: Call the vet, the numbers on the fridge, tell him I’ll be right there.

EDIE: Okay, don’t you worry ‘bout a thing, I’ll stay here and get everything cleaned up.

MIKE: Thanks, Edie.

SUSAN: Is there anything I can do?

MIKE: No.

(EDIE whistles lowly as she goes back inside, shutting the door. SUSAN stands there, looking helpless as MIKE’s truck screeches off. JULIE looks worriedly at SUSAN, who gnaws on her lower lip.)



[CUT TO: INT. VET’S OFFICE --- LATER]

(MIKE looks up as SUSAN walks into the office, accidentally shutting the door a little too loudly.)

SUSAN: Hey.

MIKE: Hey.

SUSAN: How’s Bongo doing?

MIKE: I’m, uh, just waiting to see if they’ll have to operate.

SUSAN: Oh, god. Uh, I… stopped and I got this, uh. I am just so sorry for this.

MIKE: I’m really sorry that I snapped at you, I was just so worried.

SUSAN: Oh no, it’s okay.

(The VET comes out of the inner office.)

VET: Good news, we won’t have to do surgery.

SUSAN: Oh, that’s great.

VET: Uh, we’ve given Bongo something to help pass the earring. When he does, would you like us to retrieve it for ya?

SUSAN: Uh, I’m gonna say no.

VET: Okay, you should be able to take him home within an hour.

SUSAN: Wow. You must be so relieved.

MIKE: I’m sorry, I was just really worried.

SUSAN: Well, it was your dog, I get it.

MIKE: Actually, he was my wife’s dog, and, uh, one of the last things she said to me in the hospital before she died was to be sure I looked after him, and, um, I promised her I would.

NARRATOR: And just like that, Susan could suddenly see something she’d never seen before.

MIKE: He, um, meant so much to her.

NARRATOR: Mike Delfino was still in love with his late wife.

MIKE: And if, uh, something had happened, I would’ve felt like I had failed her. I know that sounds stupid.

NARRATOR: And she knew right then, that neither she nor Edie would be laying claim to his heart anytime soon.

SUSAN: No it doesn’t. Not at all.

NARRATOR: So, she decided, for now, she could settle for just being his friend.

SUSAN: This is for you. No, for Bongo. You give it to him.



[CUT TO: INT. DELFINO HOUSE --- LATER]

(EDIE is in the kitchen, still cleaning up as she bustles around the kitchen. She opens the cupboard to put a few bottles of condiments back in, just missing seeing stacks of cash on the cupboard shelf. The camera pans up to see a few maps stuck to the wall, marked with many drawings and markings. We also see a gun sitting on the shelf above, as well as a very detailed map of Wisteria Lane and information about its many residents.)

NARRATOR: Yes, as I look back at the world I left behind, it’s all so clear to me. The beauty that waits to be unveiled, the mysteries that long to be uncovered. But, people so rarely stop to take a look. They just keep moving. It’s a shame, really. There’s so much to see.

(The camera pans back down to the wilderness, where somewhere in the depths of the forest, the mysterious chest PAUL dumped into the river floats back up the surface.)

 

Rédigé par Chriss37

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Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Aujourd'hui à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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