VOIX OFF MARIE-ALICE:Il y'a 5 ans, Susan Delfino donna naissance à un garçon dans la chambre d'accouchement A du Memorial Hopital de Ferview. Quelques instants plus tard Lila Dash donna naissance à une fille dans la salle d'accouchement B. Vers 10 heures le lendemain matin ,tandis que les deux nouvelle mamans quittaient l'hôpital, il s'en fallut de peu qu'elles rentrent en collision. Elles ne le surent evidemment jamais. En fait, Susan et Lila auraient été surprises du nombre de fois où leurs chemins se croisèrent au fil des années, elle faillirent se rencontrer à la cafétéria du coin, une autre fois dans la salle d'attente de leurs vétérinaires et de nouveau dans les gradins lors d'un match des Ferview Flyers. Mais en dépit de ces diverses occasions Susan et Lila ne se rencontrèrent jamais. Jusqu'à ce mardi soir où Susan décida d'enmener son mari dans ce restaurant chic pour fêter leur anniverssaire de mariage. Au même moment Lila décida d'enmener sa fille avec elle pour acheter des glaces. Ce fut ce soir là que Susan Delfino et Lila Dash finirent par renter en collision.
Les deux voitures se percutent viollement.
Lila Dash a le front en sang la tête posée sur son volant, elle est morte. Susan tente de sortir de la voiture. Quand elle voit le corps de Mike qui a été éjecté de la voiture inconscient, le visage en sang.
SUSAN:Miiiiiiiiiiiiike!
Maison de Mme McKluskey, Karen est en train d' enlever la poussière sur des photos.
VOIX OFF MARIE-ALICE:Finalement, aucun de nous n'y échappe. Tôt ou tard le moment arrive où nous nous demandons, qu'ais-je fais de toutes ces années? Comment les enfants que j'ai bercées...Porter et Preston descendent les escaliers avec une batte de base-ball pendant que Lynette nettoie la table....ont-ils pu grandir aussi vite?Les jumeaux sont devenus grands et Lynette leurs donne des clées de voiture.Comment la vie dont je rêvais...Bree est dans sa cuisine et prend une tarte dans ses mains ...s'est elle transformée en une carrière que je n'avais jamais envisagée? Bree rentre dans une immense cuisine un portable à la main en femme d'affaires, dans cette cuisine il y'a pleins d'employes faisant la cuisine. Et comment cette femme que je voyais tous les jours dans la glace...Gabrielle est habillée d'une robe chère et entre dans une boutique ...est-elle devenue cette personne méconaissable?Gabrielle est devenue toute grosse et porte dans ses bras et tient à la main ses deux filles obèses.
Cabine d'essayage Gabrielle essaie de faire enfiler une robe de princesse à sa fille.
GABRIELLE: Juanita cette robe est trop juste c'est l'horreur. Jamais tu rentreras dedans.
JUANITA: Si, elle est belle! Je vais y'arriver.
Une vendeuse arrive
VENDEUSE: Alors et ce modèle?
GABRIELLE: Oh euh... il va nous falloir la taille au-dessus.
VENDEUSE: Euh... Hum Hum.
La vendeuse fait signe à Gabrielle de la rejoindre à l'extérieur.
VENDEUSE: Euh... la taille au-dessus n'existe pas, ils ne font ces robes de princesses que jusqu'à sept ans voyez-vous?
GABRIELLE: Elle n'a que quatre ans et demi!
VENDEUSE: Oh... Bah dîtes donc!
GABRIELLE: Comme ma fille est invitée à une princesse party, de ce fait il est hors de question qu'elle soit la seule sans robe de princesse.
VENDEUSE: Etes-vous allée au rayon déguisement? Ils ont sûrement une robe de Madame Shrek qui devrait lui aller.
GABRIELLE: JUANITA ENLEVE CETTE ROBE TOUT DE SUITE ON S'EN VA.
JUANITA: Non! Je vais y'arriver!
VENDEUSE: Oh, je compatis vous savez ma nièce a elle aussi un énorme problème de poids!
GABRIELLE: Ma fille n'a aucun problème de poids! Elle est juste un peu potelée! Le seul problème qu'elle ait c'est que votre boutique n'ait pas du tout adaptée à une petite fille de quatre ans tout a fait dans la norme!
Un bruit de déchirure se fait soudain entendre.
JUANITA: Oh oh.
GABRIELLE: Vous pouvez l'encaisser c'est bon.
Cuisine de travail de Bree, Bree fait une séance photo pour la couverture de son livre et sort une tarte du four.
PHOTOGRAPHE: Non, non, non!
BREE: Rooh, mais enfin qu'est ce qui ne va pas encore?
PHOTOGRAPHE: Je reviens pour la énième fois sur le concept mon chou, vous sortez la tarte du four et soudain votre visage irradie de surprise.
BREE: Et pourquoi suis-je surprise?
PHOTOGRAPHE: Parceque tout s'est parfaitement déroulé!
BREE: Mais, ca n'a rien de surprenant, mes tartes sont toujours parfaitement réussies!
PHOTOGRAPHE: Très bien, dans ce cas c'est la meilleure que vous ayez jamais faite. Vous vous êtes surpassée hein?
BREE: Hun hun, et je le saurais avant même de l'avoir goûtée?
PHOTOGRAPHE:Ook mon chou, vous faites la tête que vous voulez ca m'est égal. Seulement je crois que vous vendrez plus de livres de cuisine si vous n'avez pas l'air d'avoir fait l'amour à un glacon!
BREE: Andrew, chéri? Je vais m'accorder une petite pause. Veux-tu bien dire à ce gentleman que si l'envie lui vient de me donner du "mon chou" une nouvelle fois, je lui attrape son appareil et je lui photographie le colon.
ANDREW: Vous avez capté?
Katherine arrive.
BREE: Katherine? Mais que viens-tu faire ici?
KATHERINE:Je dois payer les serveurs et tu as pris la clé de la caisse Bree, encore!
BREE: Oh désolé. Les payer pourquoi?
KATHERINE: Le mariage arménien. Un déjeuner trois cents couverts, c'était juste après le petit-déjeuner du Garden-Club que t'as également raté.
BREE: Oh navrée, j'ignorais que cette séance photo s'éterniserait, jamais je n'aurais crue que c'était si dure de poser pour une couverture de livre!
KATHERINE: Oh, tu vas y'arriver! Tu exelle dans l'art de prendre des poses de chef.
BREE: D'accord Katherine, je sais que ce livre de cuisine me prends quasiment tout mon temps et que tu te sens débordée et dévalorisée mais sache que je t'apprécie, j'ai d'ailleurs un cadeau pour toi, il s'agit de l'épreuve de mon nouveau livre. Lis la page deux.
KATHERINE: "A Katherine Mayfair, une merveilleuse cuisinière mais surtout la meilleure amie qui soit." Tu me l'a dédiée Bree?
BREE: C'est toi qui a rendue tout cela possible! Oh, c'était la moindre des choses! Bree prend Katherine dans ses bras.
PHOTOGRAPHE: Hum hum! Excusez-moi, le temps c'est de l'argent. Alors vite vite mon chou.
BREE: Andrew, avons-nous une deuxième tarte quelque part?
ANDREW: Oui, bah bien sûr!
BREE: Parfait.
Bree la tarte à la main se prépare à l'envoyer.
A la pizzeria Scavo. Lynette rentre à l'intérieur et découvre une bande de jeunes ainsi que ses jumeaux à l'intérieur jouant au poker.
PRESTON: Et comme tout le monde se couche, c'est pour moi! Eh ouais, dans ce cas là, c'est pour moi.
LYNETTE: Preston?
PRESTON: Maman?!
LYNETTE: Je peux savoir ce que c'est ça?
PRESTON: T'inquiètes pas c'est rien, on fait une partie de cartes.
LYNETTE: Oui, bah vous auriez pu la faire à la maison! Pourqoui dans notre dos?
Porter arrive.
PORTER: TEQUILA LES MECS. CINQ DOLLARS LE VERRE!
LYNETTE: Ah, je crois que j'aie la réponse. OK, C'EST TOUT POUR AUJOURD'HUI, TOUT LE MONDE DEHORS, LA PARTIE EST FINIE. Passe-moi ta chaise une seconde. Lynette monte sur une chaise. HEY, C'EST PAR ICI QUE CA SE PASSE, MAMAN EST LA, LA FETE EST FINIE, LA PORTE EST OUVERTE, DEHORS! ALLEZ OUSTE! Vous deux pour ce qui est de faire les andouilles vous n'êtes pas en reste, mais ça! Non mais ça, risquer de nous faire perdre notre licence de débit de boisson, notre gagne-pain, nom mais...
PORTER: Qui peut le savoir? Aller quoi, ca fait un mois qu'on organise des soirées poker et personne...
LYNETTE: Hein? Alors là, c'est incroyable! Puisque c'est ça, tous les deux vous êtes privés de sortie pendant quinze jous!
PRESTON: Eh, mais t'es dur là...
LYNETTE: C'est-ça, vas-y continue à te plaindre et les quinze jours vont devenier un an, range-moi ça tout de suite!
Lynette se prend une tequila.
Dans la chambre de Susan, Susan finit de faire l'amour avec Jackson.
JACKSON: Waho, t'étais fantastique!
SUSAN: Et toi exeptionnel. Hin hin.
JACKSON: Tu as été incroyable!
SUSAN: Toi aussi. Hin hin. ...Tu t'en vas maintenant.
JACKSON: Susan, ça fait combien de temps, quatre mois? Est-ce qu'un jour tu vas me laisser passer la nuit ici?
SUSAN: Ché pas. Allez rhabilles-toi, allez-vite rhabilles-toi!
JACKSON: J'ai compris, le truc tu vis c'est que en général, les filles me supplient pour que je reste.
SUSAN: Tant mieux, comme ça tu devrais avoir aucun problème pour trouver un autre lit.
JACKSON: D'accord, je connais la chanson. Interdiction de passer la nuit ici, d'être présenté à tes copines, d'être présenté à ton fils mais je m'interroge est-ce qu'un jour cette relation va devenir normale?
SUSAN: Je te la fais courte, t'es un mec, on vient de s'éclater et je t'ai pas forcé à être câlin, alors va vite te vanter auprès de tes copains!
JACKSON: Ecoute, tu me plaîs Susan! Je sais que je te plaîs alors pourquoi...est cequ'on deviendrait pas un couple?
SUSAN: Euh...je suis pas prête pour ça. Et ce qu'il y'a entre nous c'est la seule chose que j'arrive à gérer.
Susan embrasse Jackson.
SUSAN: File!
JACKSON: Très bien mais attention ca ne pourra marcher que cinq ou six cent fois grand maximum!
SUSAN:Hahaha!
Ancienne maison d'Edie Britt, un homme toque à la porte. Un homme ouvre.
DAVE: Bonsoir.
RAYMOND: Est-ce que je peux-vous aider?
DAVE: Non, est-ce que moi, je peux-vous aider. C'est ça la bonne question.
RAYMOND: Bon, si vous essayez de me vendre un produit quelconque je n'ai pas d'argent.
DAVE: Maintenant si!
Dave lui donne une liasse de gros billets.
RAYMOND: Je ne suis pas sûr de saisir.
DAVE: Vous avez un bail et je suis venu vous le racheter.
RAYMON: Pardon?
DAVE: C'est innatendu je sais, mais voyez-vous, cette maison a quelque chose qui... commen dire? Qui me fait sentir chez moi, j'aimerais donc y enmménager ce soir.
RAYMOND: Ce soir? Non mais vous êtes fou?
DAVE: Oui, un peu. Tenez...Dave lui tend une autre liasse de gros billets...je couvre plus que vos frais de déménagement avec ça.
RAYMOND: Vous savez, je ... je suis bien installé dans cette maison et puis la propriétaire des lieux ne serait jamais d'accord.
DAVE: Vous inquiétez pas pour elle, je m'en occupe.
RAYMOND: Non, je n'ai aucun autre endroit où aller. Je crois que vous devriez partir.
DAVE: Ecoutez Raymond.
RAYMOND: Vous connaissez-mon nom?
DAVE: Je vous ait fait une offre très généreuse et je suis convaincut que vous allez prendre la bonne décision. Cinq...
RAYMOND: Cinq? Comment ça cinq, je ne vous suis pas.
DAVE: Quatre...
RAYMOND: Attendez, je ne comprends pas, c'est trop...
DAVE: Trois...
RAYMOND: D'accord, attendez une seconde.
DAVE: Deux...
Devant la maison d'Edie, Raymond est avec Dave des valises à la main.
DAVE: Hihin. Cher Raymond, merci infiniment. Tenez. Bonne chance.
Dave s'approche d'une voiture aux vitres noires.
DAVE: Affaire rondement menée Madame Williams.
La fenêtre s'ouvre et Edie apparaît.
EDIE: Merci, Monsieur Williams.
VOIX OFF MARIE-ALICE: Le lendemain matin, Edie Britt décida d'annoncer son retour dans Wisteria Lane, d'une façon qui à coup sûr... allait faire sensation.
Edie remplit un seau au tuyeau d'arrosage, au même moment Lynettes sort jeter les poubelles.Lorque Lynette la vit, celle-ci prit son portable.
LYNETTE: Ok, tu vas jamais le croire, mais... elle essst revenue!
Les quatres filles se précipitent pour aller la voir.
SUSAN: Edie, c'est vraiment toi ouu...
EDIE: Tu connais d'autres femmes de mon âge aussi bien carossées?
BREE: Tu es donc de retour parmi nous?
LYNETTE: Euh... Et où est passé ton locataire?
EDIE: Oh, il a eu une rentrée d'argent inespérée et il a déménagé, on s'est dit mais c'est l'occas' rentrons au bercail!
GABRIELLE: "On" tu dis?
EDIE: Oh, tu n'es pas au courant? J'ai un mari.
SUSAN: Ah oui? A qui il est?
Dans le salon d'Edie, Dave sert un jus d'orange aux filles.
DAVE: Je suis à Las Vegas au salon de l'immobilier en tant qu'intervenant, je leur sers un petit discours de motivation et là au sixième rang, dans la rangée du milieu, se trouve la plus belle femme qui m'est jamais été donné de voir.
EDIE: Hihihi
DAVE: A la fin de mon intervention, je descends dans la salle et j'invite cette déesse a dîner.
EDIE: Son séminaire été intitulé: "Obtenir ce que l'on veut" et... il l'a obtenu... trois fois avant le dîner.
LYNETTE: Hinhaha.
BREE: C'est un réel plaisir de vous rencontrer Dave et d'être les premières à vous souhaiter la bienvenue dans Wisteria Lane.
GABRIELLE: J'ai une idée, organisons un dîner ou un truc comme ça.
LYNETTE: On n'à qu'à faire une fête, oui pourquoi pas à la pizzeria.
DAVE: J'en serai vraiment ravi.
GABRIELLE: Merci.
EDIE: Au fait Gabrielle, j'ai une question qui me tarode, qu'est ce qui t'est arrivée? Regarde-toi, tes fringues, tes cheveux, haa, Carlos est peut-être aveugle mais on ne l'est pas nous!
GABRIELLE: J'ai eu deux enfants.
EDIE: Tu veux dire pour ton petit déjeuner?
DAVE: Edie, le jour où tu viens rhabitter dans le quartier?
EDIE: Tu as raison mon chéri, je suis désolée Gaby, c'est mal élevé j'ai manqué de tact, je ne le referais plus.
GABRIELLE: T'es sincère?...D'accord.
DAVE: Et si on offrait quelque chose à grignoter à tes amies?
EDIE: Oh, j'ai fait des muffins.
Edie s'en va. Lynette attrape Dave.
LYNETTE: S'il vous plaît, ne vous méprenez pas mais... nous vous aimons.
Carlos est dans la cuisine et prépare à manger.
CARLOS: Niquita, le déjeuner est prêt, va chercher ta soeur.
Gabrielle rentre dans la cuisine.Carlos commence à rajouter du fromage fondu sur les choux de Bruxelles.
GABRIELLE: Carlos, pourquoi tu rajoutes du ceedar fondu?
CARLOS: Tu sais ce que Juanita pense des choux de bruxelles, je m'arrange pour que les légumes soient un peu plus sympathiques.
GABRIELLE: La prochaine fois, donne lui une carotte et après un tour de montagnes russes. T'as essayé de la soulever ces temps-ci?
CARLOS: Oui, je sais elle est grasouillette mais ça va s'arranger en grandissant.
GABRIELLE: Oh, l'espoir fait vivre! Enfin, avec les gènes que tu lui as transmis...
CARLOS: Dis tout de suite que j'aie du gras dans les gènes!
GABRIELLE: Oh, m'oblige pas à ressortir l'album avec les photos de ta famille! On dirait une bande d'otaries qui pose sur un rocher!
CARLOS: Désolé, que mes parents n'arrivent pas à la cheville de l'équipe d'alcollo décharnés dont t'es toi-même issue.
GABRIELLE: Tout ce que je veux dire, c'est que notre fille a un problème de poids et plus vite on l'admettra mieux ce sera.
CARLOS: Elle n'a que quatre ans! Mais si tu tiens à ce qu'elle ait un problème de poids, vas-y harcèle-la, critique-la, file-lui des complexes et voyons ce qui se passe!
Sur ce Carlos rajoute une énorme cuillère de fromage sur les choux de bruxelles.
Devant la maison des Scavo, Tom est en train de nettoyer une belle voiture de collection pendant que Lynette lui parle.
LYNETTE: Et apparemment, la communication passe mal avec les jumeaux, quoi que je puisse leur dire ils multiplient les conneries. J'en ai plus que marre.
Lynette commence à s'appuyer sur la voiture.
TOM: Tiens chérie, tu...
LYNETTE: Oh, pardon.
TOM: Oui, hihi... bon, ce que tu voudrais c'est que je leur parle?
LYNETTE: Pas le choix, j'en aie ras-le-bol d'être constamment le méchant flic, il va falloir que tu patrouilles toi aussi.
TOM: Bien, c'est vrai qu' à c't' âge là, les garçons préfèrent de loin écouter leur père. Je vais régler ça.
LYNETTE: Merci, j'apprécie.
Lynette recommence à s'appuyer sur la voiture.
TOM: Bon chérie, tu sais ce que j'apprécierais? C'est que tu...
LYNETTE: Oh, pardon.
TOM: Voilà, hum.
Lynette est en train de monter le linge quand elle entend des éclats de rire venant du salon, elle s'approche et voit les jumeaux en train de rire avec Tom.
PORTER: Hahaha, jte jure hahaha! Kurby avait plusieurs cartes maîtresses en réserve et résulatat: Bobby va devoir aller au lycée en robe lundi.
TOM: Hooo noon hohoho, la gag! Hahaha, alors là, il...il faut que vous le preniez en photo les gars! HOHO, ah ouais c'est trop drôle ce truc! Hahahaha!
LYNETTE: Tom?
TOM: Haha!
LYNETTE: Je peux te voir une seconde?
TOM: Oui.
Dans la chambre de Tom et Lynette.
LYNETTE: T'as pas l'impression de leur avoir envoyés le mauvais message là?
TOM: Quoi? Bon ok, je...je sais on n'est pas d'accord avec ce qu'ils ont fait, mais tu... mais il faut admettre que c'était créatif non? Tu te rends compte couvrir leur casino a eux!
LYNETTE: Ah oui, aussi créatif que quand ils ont venus de fausses pièces d'identités et où il volait la caisse de Madame McKluskey, à ça oui quel travail d'artiste!
TOM: Aah oui ça... chérie,ché... chérie ça... ça n'a rien avoir avec les autres fois ça. Non, mais au... aujourd'hui c'est carrément tout le lycée qui parle de leurs soirées poker je... je sais pas si tu réalise mais c'était le lieu où il fallait se montrer le lundi soir! Haha.
LYNETTE: Oh, mais alors...
TOM: Alors quoi?
LYNETTE: Tu les trouves cool, toi?
TOM: Euh... plutôt oui.
LYNETTE: Ah non, mais je veux dire que tu les trouves cools parce que sur ce coup-là, tu aimerais être à leurs places.
TOM: Oh, pitié!
LYNETTE: Ah non, mais je suis sûre que si! La, c'est Tom l'ex-petit lycéen ringard qui vit des trucs exitants à travers ses deux rejetons tellement géniaux.
TOM: Eh, j'étais super cool moi quand j'étais au bahut.
LYNETTE: Est-ce qu'on redéfinit le mot "cool" avec joueur de trombonne dans une fanfare?
TOM: Hinhin tu... hahahin, non je trouve que tu exagère, d'accord ils sont un petit peu fougueux, mais je leur fais confiance, j'ai donc décidé de lever l'interdiction de sortie pour le bal du lycée.
LYNETTE: Mais je leurs ait dit qu'il n'était pas question qu'ils aillent à cette soirée!
TOM: Oui et tu m'as dit aussi de gérer la crise, c'est ce que je viens de faire, hin. ... Ah au fait, je jouais pas du trombonne je jouais du tuba... toi et les cuivres ça fait deux!
A la princesse-party, Juanita est en train de manger une énorme part de gateau.
GABRIELLE: Juanita!
JUANITA: Mais tu avais dit que j'avais le droit!
GABRIELLE: Je sais, mais une si grosse part? T'aurais pu en reprendre après!
JUANITA: Mais chest ma deuxième part.
Gabrielle est en train de laver un verre, lorsqu'elle entend deux mamans discuter.
FEMME 1: Juanita n'y est pour rien, oh, dans ces cas-là c'est aux parents que j'en veux.
FEMME 2: Ma fille mangerait du sucre toute la journée si je la laissais faire.
FEMME 1: Gaby, est de toute évidence une de ces mamans qui ne savent pas dire non. Et puis, c'est dommage Juanita a une si jolie frimousse.
FEMME 2: Mmmmh.
Susan rentre chez elle, Jackson est en train de repeindre les murs de la cuisine.
SUSAN: Me revoila. Tu veux quelque chose de frais.
JACKSON: A vrais dire... je préfererais un truc très chaud.
Jackson commence à se déshabiller.
SUSAN: Tu veux que je te dises? Ca c'est la raison pour laquelle, il faut quatre mois pour finir les travaux de peinture.
JACKSON: Est-ce que tu sais, ce qu'on dit dans le métier? On peut l'avoir vité fait ou on peut l'avoir bien fait.
Susan commenca aussi à se déshabiller.
SUSAN: Je crois que je le veux vite fait bien fait.
Susan embrasse Jackson. Quand soudain on toque à la porte.
LYNETTE: Susan?
SUSAN: Oh, euh... Lynette?! Je regrette mais tu tombes mal.
Lynette commence à rentrer.
LYNETTE: J'ai juste besoin de cinq secondes pour râler contre Tom et ensuite... Oh, c'est pas vrai! Il a toujours pas fini ton peintre?
SUSAN: Euh... n... non.
Jackson a disparu.
SUSAN: Euh... j' t'avoues que parfois j'ai du mal à savoir où il est.
LYNETTE: Oui, enfin bref, Tom refuse de reconnaître que les jumeaux sont en phase de tomber dans la délinquence.
On voit la main de Jackson par la fenêtre chercher son jean.
SUSAN: Oh, ma pauvre chérie.
LYNETTE: Tiens l'autre jour...
SUSAN: T'as besoin d'un câlin.
Susan prend Lynette dans ses bras et passe le jean à Jackson tout en faisant un câlin à Lynette.
LYNETTE: T'as bu ou quoi?
Bob et Lee sont sur leur terrasse en train de boire un café quand ils apperçoivent Jackson sortir par la fenêtre de Susan et essayant de remettre sa combinaison, Lee le prend alors en photo avec son portable.
De nouveau chez Susan, Lynette s'apprête à partir.
LYNETTE: Exucuse-moi, d'avoir débarqué comme ça, c'est gentil de m'avoir laissée vider mon sac.
SUSAN: A chaque fois, que t'auras besoin de parler tu sonnes à ma porte et t'attends.
Susan ferme alors la porte sur Lynette. Jackson rentre par la porte de derrière.
SUSAN: Bon, nouvelles règles, désormais le sexe ce sera dans la chambre avec la porte fermée à clé et seulement entre 19 heures et 19 heures 30.
JACKSON: Hin, tu sais quoi? Ce serait plus facile pour moi de suivre les règles si je savais pour quelles raisons tu les fixes.
SUSAN: J'aie aucune envie que mes amies sachent ce qu'il y'a entre nous.
JACKSON: Pourquoi? Tu as honte de moi?
SUSAN: Bien sûr que non! Qu'est ce que tu vas chercher. C'est juste...compliqué.
JACKSON: Je suis pourtant plutôt simple comme garçon et je ne peux pas être ton vilain petit secret. Susan, j'aie besoin de plus.
SUSAN: Je suis désolée, c'est tout ce que je peux te donner.
A la princesse-party, Juanita et Gabrielle sont assises et Juanita boie une jus de fruits.
GABRIELLE: Chérie, je sais que tu veux rentrer pour regarder tes dessins-animés, mais tu as mangé beaucoup de gâteaux alors je me suis dit qu'on pourrait aller au parc, comme ca tu pourras courrir et faire un peu d'exercices, ce sera sympa et rigolo.
JUANITA: Non.
GABRIELLE: T'es sûre? Ca te fera du bien de courrir dans tous les sens à l'air pur et au soleil.
JUANITA: Mmmmmh... non.
GABRIELLE: D'accord. Bon aller, va jetez ça à la poubelle, moi je vais chercher la voiture.
Gabrielle voit alors deux petites filles se courirent l'une après l'autre autour d'une voiture.
Gabrielle arrive en voiture devant Juanita.
GABRIELLE: Juanita, ça te dirait pas de jouer à un nouveau jeu en chemin? Et on achète une poupée à celle qui gagne.
JUANITA: D'accord.
GABRIELLE: Viens vite alors!
Juanita va monter quand soudain Gabrielle avance.
JUANITA: Eeeeh!
Juanita tente de nouveau de monter mais Gabrielle recommence.
JUANITA: Maman, mais qu'est ce que tu fais?
GABRIELLE: C'est un nouveau jeu que je viens d'inventer et c'est toi qui mène 1 à 0 chérie.
Dans la cuisine de travail de Bree, Bree cuisine quand Katherine arrive.
BREE: Oh, Katherine, j'aie une nouvelle tu tonerre, "A vos fourneaux Ferview" va envoyer une équipe demain pour réaliser un sujet sur moi et sur le livre.
KATHERINE: Oh, que je viens de finir ce matin.
BREE: Tu l'as lu en entier?
KATHERINE: Oui, je n'arrivais pas à le lâcher. Mais sache qu'il y'a au moins une bonne douzaine de recettes où maheureusement t'oublies un ingrédient essentiel.
BREE: C'est vrai? Mais lequel?
KATHERINE: Mon nom!
BREE: Excuse-moi?
KATHERINE: Bree, ton livre est truffé de recettes que nous avons dévelopées ensemble et certaines ne sont qu'un copier-coller des miennes.
BREE: Attends c'est absurde, je m'en suis peut-être légèrement inspirée mais j'ai toujours changée quelque chose au final.
KATHERINE: Quoi, les caractères d'impression? Cite-moi une différence entre la recette de ton pain de viande et la mienne, vas-y!
BREE: Alors que la tienne nécéssite du percil frisé haché, la mienne en revanche nécéssite du percil plat haché.
KATHERINE: C'est du percil haché qui voit la différence? Bree, il y'a des recettes dans ce bouquin que tu serais incapable de faire!
BREE: Je n'ai jamais rien entendu d'aussi abérant!
KATHERINE: Ah oui? Et la pièce montée alors, avec le voile de sucre filé, je ne t'ai jamais vue travaillée de sucre cuit depuis qu'on se connaît, c'est toujours moi qui fait ce gâteau!
BREE: Voyons Katherine, ce n'est pas parce que je te exécuter quelques garnitures accrocheuses qui assouvissent ton besoin de faire étalage de ton talent que je suis incapable de faire aussi bien que toi.
KATHERINE: Tu me laisses non mais... Je croyais que nous étions associées!
BREE: Bien sûr! C'est pour ça que ton nom apparaît sur la dédicace de la page de garde.
KATHERINE: Tu avais raison pour cette dédicace finalement. C'était vraiment la moindre des choses.
Katherine s'en va.
Sur la route Gabrielle s'arrête et regarde Juanita qui est derrière essouflée.
GABRIELLE: Whaouu, 18 à 0!
JUANITA: Han!
GABRIELLE: Encore deux petits points et tu vas battre le record!
JUANITA: Maman, je suis fatiguée!
Juanita s'assoit par terre.
GABRIELLE: Ah bon? Je croyais que ça t'aurais donné un coup de fouet d'avoir courru entre ces tuyeaux d'arrosage. Dépêche-toi aller!
JUANITA: Je veux plus jouer!
GABRIELLE: Oh, oh... je sens que maman va marquer ses deux premiers points. Aller Juanita, montre à maman que t'es une gagnante.
Un bus s'arrête juste devant Juanita. Juanita se lève et monte dedans.
GABRIELLE: Juanita, qu'est-ce que tu fais? Arrête Juanita!
Le bus s'en va avec Juanita à l'intérieur sous le regard horrifié de Gabrielle qui s'empresse de le suivre.
GABRIELLE: JUANITA! JUANITA!
Dans le salon des Scavo, Lynette est assise à côté de Tom et parle aux jumeaux.
LYNETTE: Et alors, que j'étais sûre que la privation de sortie était la punition adéquate, votre père a réussi à me convaincre que j'étais un peu trop dure avec vous.
TOM: Absolument.
LYNETTE: Et d'un commun accord, nous avons décidés de vous laisser aller à ce fameux bal ce soir.
TOM: Ouais. Héhéhéhé!
LES JUMEAUX: Hoooohoooo!
LYNETTE: Avec la décapotable de votre père.
TOM: Euuh...n...mais...n...no...de...attendez une seconde...qu...qoi?
LYNETTE: Remet-toi Tom, on peut leur faire confiance quand même non?
TOM: Oui, oui mais je... je... je leurs ferait pas moins confiance si ils y allaient avec ta voiture.
LYNETTE: Non! Tu ne veux quand même pas que deux garçons aussi cools se pointent au bal dans une pauvre voiture de mère de famille surtout depuis qu'ils me l'ont cabossées en beauté le mois dernier! Attrape.
PORTER: Je le crois pas!
PRESTON: Merci, trop classe!
LYNETTE: Non c'est votre père qu'il faut remercier.
LES JUMEAUX: Merci papa.
TOM: Non mais eh euh... non,non,non,non,non,non, là, eh,eh,eh ho. Quelques règles de base:je ne veux pas de chaussures frottées sur mes tapis ni de...
LYNETTE: Toom, on reste zen. Et vous les petits fougueux, faites en sorte que ce soit la grande éclate ce soir.
LES JUMEAUX: Haaaaaaaahééééé!
PORTER: Trop cool!
PRESTON:Ouais!
TOM: Mais on...
LYNETTE:Mmmmh?
Devant la cuisine professionnelle de Bree, se trouve Bree et l'équipe de télévision.
METTEUR EN SCENE: Et trois, deux, un...
PRESENTATEUR: Soyez les bienvenus dans "A vos fourneaux Ferview". Nous sommes en compagnie de Bree Van de Kamp, le meilleur traiteur de la ville qui est sur le point de publier son tout premier livre de cuisine. Bree, vous nous faîtes visiter?
BREE: Hahin. Donc voici ma cuisine. Et voici mon personnel. Les gens les plus doués et les plus travailleurs qui soient. Bien au-delà de mes espérances, je ne suis jamais assez élogieuse quand j'évoque leurs compétences.
On voit alors Katherine en train de cuisiner.
PRESENTATEUR: Qui a la plus ancienne colaboration avec Bree?
KATHERINE: Logiquement c'est moi.
PRESENTATEUR: Alors, dîtes-moi un peu, comment est-ce de travailler avec Bree?
KATHERINE: C'est stimulant.
BREE: Haha!
KATHERINE: En cuisine, il n'y a rien qu'elle ne sache faire.
BREE: Katherine, je vais rougir.
KATHERINE: Travailler avec quelqu'un comme elle est tellement instructif que j'aie... Ahh, Aie.
Katherine en mettant une casserole dans de l'eau bouillante se brûle.
BREE: Oh, seigneur, ça va?
KATHERINE: Oh, je crois que je me suis foulée le poignet. Oh, c'est dommage.
BREE: Oh, ma pauvre chérie, quelqu'un peut nous apporter de la glace? Oh, non.
KATHERINE: Oh, et moi qui était sur le point de poser ce voile de sucre filé sur nôtre fameuse pièce montée. Tu veux bien le faire?
BREE: Hinha. Katherine, je suis sûre que ton poignet va pouvoir tenir le coup.
KATHERINE: Non! Ca me lance c'est terrible.
PRESENTATEUR: J'ai comme l'impression qu'on appelle Bree à la rescousse.
KATHERINE: Veillez à ne rien rater, ça vaut ole coup d'oeuil.
Bree s'empare de la casserole.
BREE: Le secret du sucre filé consiste surtout dans la manière de le fouetter et ça pour obtenir de ravissants cheveux d'anges.
KATHERINE: Attention, très chère, le sucre épaissit.
BREE: Oui, j'aie vue!
Bree donne un violent coup de fout et un peu de sucre fondu déborde et touche le présentateur.
PRESENTATEUR: Aaaah.
BREE: Hannnn:
KATHERINE: Haaaaaaan!
PRESENTATEUR: C'est brûlant.
BREE: Je suis désolée. Hinhaha. Oups! Hinhin.
Gabrielle est dans le salon avec Carlos et regarde les filles jouer dehors.
CARLOS: C'est ça pour toi faire de l'exercice, la faire courrir derrière une voiture?
GABRIELLE: Carlos, nôtre fille a engloutie la moitié d'un gâteau d'anniverssaire ensuite personne n'a retrouvé les bougies. Réveille-toi mon vieux, on a un problème!
CARLOS: Ecoute, ça m'étonnerait qu'on arrive à le régler à coups d'humiliation. Même si elle a un peu forcée, Juanita a le droit de se sentir bien dans sa peau non?
GABRIELLE: C'est pour la protéger enfin! Elle est pas consciente de la réalité d'aujourd'hui. Les femmes n'ont que quelques secondes pour être jeune et belle, après fini adieux. En moins de deux on se retrouve vieilles, grosses et mariées et on se demande où est passée nôtre beauté.
CARLOS: Roooh! Gaby.
GABRIELLE: Non Carlos. Jveux dire, parfois chui bien contente que tu me voies pas, ca compte plus des gamines, jamais le temps pour des soins du visageou des cours de gym c'est... la fin de tout. ...J'ai tellement changée que l'autre fois quand Edie m'a vue on aurait die qu'elle me reconaîssait pas.
CARLOS: Gaby, écoute-moi bien. Personne au monde ne connaît mieux ton visage que moi, à chaque fois que je t'embrasse je le voie et dans cinq ans ou cinquante ans ce qui est sûr c'est que tu seras toujours aussi belle qu'avant. T'as compris?